Trois semaines plus tard, un colis attendait dans ma boite aux lettres. Comme je traînais de plus en plus souvent à son appartement, il est possible qu’il soit arrivé depuis quelques jours. Je l’ai déballé et j’ai découvert sa cage de chasteté soigneusement rangée dans une petite trousse translucide. J’ai assemblé la cage et j’ai joué avec pendant quelques minutes avant de la glisser dans mon sac à main.
Nous avons fini par faire l’amour plus tard cette nuit-là et je me suis arrêtée peu de temps après avoir eu un orgasme. Je ne l’avais pas fait depuis un moment, alors c’était agréable de voir ce regard choqué sur son visage. Il était allongé sur le dos et a commencé à se caresser. J’ai posé ma main sur son bras jusqu’à ce qu’il mette sa main à côté de lui. Puis, je lui ai demandé de ne pas bouger. Ensuite, j’ai pris mon sac à main sur la table de nuit et j’ai sorti le petit sac en plastique. Il l’a regardé, confus pendant un moment. J’en ai sorti les trois anneaux de tailles différentes avec lesquels elle était livrée. Et, je lui ai demandé : « lequel t’irait ? »
Son pénis était encore fièrement dressé et dur comme un roc. J’ai soulevé ses couilles et tenu l’anneau de la plus petite taille jusqu’à ses couilles. J’ai tenté de les faire passer à travers l’anneau. C’était bien trop petit. Alors, j’ai essayé la taille suivante. Elle semblait convenir sans laisser beaucoup de marge de manœuvre. Puis, j’ai testé la plus grande taille, j’aurais pu y faire passer une boule supplémentaire. J’ai remis les deux tailles rejetées dans la trousse et lui ai tendu la troisième bague. Je lui ai dit que je voulais la voir, je voulais qu’il l’essaie pour moi. Il était encore sidéré, mais avait apprécié l’attention que je portais à ses couilles pendant qu’il jouait avec la partie de la cage dans laquelle son pénis finirait par glisser.
Il s’est débattu pendant un moment avant de comprendre que rien ne se passerait tant que son excitation ne serait pas un peu retombée. Nous avons attendu quelques minutes et il a commencé à redescendre. Alors il a pu enfiler l’anneau sur son pénis et ses boules, mais il s’était excité au cours du processus. Nous allions donc devoir attendre encore quelques minutes pour qu’il puisse entrer dans le tube. Certes, il ne bandait pas vraiment, mais il devait être complètement raplapla pour entrer dans la cage. Fatigué d’attendre, je suis allé dans la cuisine chercher un sac de petits pois surgelés pour l’aider. Quelques minutes plus tard, nous avons pu le faire entrer dans le tube. J’ai tenu à le verrouiller moi-même avec l’une des petites clés argentées.
Nous étions fiers de notre accomplissement. Je lui ai dit à quel point j’aimais ça et qu’il était sexy dans sa cage. Il savait que j’étais un peu obsessionnelle, alors je lui ai dit à quel point les choses sont belles quand elles sont à leur place. Je pouvais voir qu’il appréciait mes compliments, mais qu’il n’était pas très sûr de l’accastillage sur sa bite. Il s’est levé pour mettre son caleçon, mais je lui ai dit que je voulais le voir dans sa cage. Il s’est levé pour mettre son caleçon, mais je lui ai dit que je voulais voir sa bite en cage. Je peux dire qu’il a aimé entendre ça aussi. Il s’est pavané dans son appartement pendant un moment, avant de demander s’il pouvait l’enlever pour aller au lit. Je lui ai dit que j’aimais bien qu’il me câline pendant qu’il la portait. J’ai laissé les clés sur le meuble de la salle de bain pour qu’il puisse l’enlever si cela devenait inconfortable.
Nous avons regardé la télévision pendant un moment, j’ai apprécié sentir sa cage contre mes fesses. Je me suis endormie assez rapidement, car j’avais eu un bon orgasme plus tôt. Quelques heures plus tard, je me suis réveillée et je l’ai entendu trifouillé dans la salle de bains. Je ne m’attendais pas à ce que ça dure éternellement, mais j’avais hâte de lui parler le lendemain. Le radio-réveil indiquait 5 h 45 du matin, il avait donc passé une bonne partie de la nuit en cage.
La suite dans mon prochain billet… ?
