Au tout début


J’ai reçu de nombreux messages de femmes me demandant comment elles peuvent initier et “exiger” que leur gars accepte le contrôle de ses orgasmes. Tout d’abord, je voudrais mettre les choses au clair : je ne demande jamais rien, mais je ne lui explique pas tout et je ne lui lance pas d’ultimatum. Comme pour tout, j’y vais en douceur et je lui offre de nombreuses occasions de s’exprimer.

Après avoir rompu avec le premier petit-ami qui m’avait initiée aux plaisirs du contrôle de l’orgasme masculin et à la chasteté, j’ai rencontré Nicolas à une soirée étudiante. Nous nous entendions super bien et c’était génial. Après quelques mois passés ensemble, pendant lesquels nous étions intimes, je me suis retrouvée assez confiante pour décider de voir à quel point il serait réceptif à l’idée de me permettre de contrôler ses orgasmes.

Un après-midi après avoir fait l’amour entre deux cours, je me suis arrêtée après mon premier orgasme prétextant qu’il fallait que j’y retourne. Je lui ai dit que nous ferions l’amour ce soir-là, mais que je voulais qu’il m’attende. Rajoutant qu’il serait plus excité et qu’il banderait bien plus fort pour moi s’il ne se branlait pas entre temps, ce qui est tout à fait vrai. Évidemment, il était peu enjoué de se la mettre derrière l’oreille, mais il me promit d’attendre.

Plus tard dans la soirée, nous avons fait l’amour et après qu’il m’ait fait jouir avec sa langue, je lui ai demandé d’arrêter à nouveau. Je lui ai dit que je voulais voir s’il pouvait attendre jusqu’au lendemain matin. Naturellement, il a exprimé sa désapprobation et il a réclamé que je le fasse jouir. Alors, pour le convaincre, je lui ai dit que j’aimais le voir bander aussi fort pour moi et que si nous attendions encore un peu, ça ne sera que meilleur. Et s’il acceptait, nous pourrions prolonger ce jeu sexy toute la soirée.

Je l’ai donc taquiné, l’emmenant plusieurs fois à la limite de l’orgasme sans jamais le lui accorder. Bien sûr, je ne lui ai pas dit que les taquineries et le déni n’étaient pas une nouveauté pour moi. Je lui ai simplement expliqué à quel point j’aimais le voir ainsi fou de désir pour moi. Nous nous sommes vraiment bien amusés avec tout l’aspect des taquineries et du déni pendant une bonne partie de la nuit, jusqu’à ce que je le conduise aux douloureuses, mais délicieuses boules bleues tandis qu’il me faisait jouir une quatrième et dernière fois avec sa bouche et ses doigts.

Sans surprise, le lendemain matin, après cette longue soirée d’attente il n’a pas tardé à réclamer ce que je lui avais promis. Nous avons donc fait l’amour et il a eu l’un des meilleurs orgasmes de sa vie.

Nous avons continué à expérimenter ensemble les taquineries et le déni et plus je passais de temps chez lui, plus nos jeux étaient intenses. Jusqu’au jour où il s’est absenté pour passer une semaine de vacances en famille. Je lui avais lancé le défi de ne pas se masturber jusqu’à son retour. Je savais que, comme la plupart des hommes, il se masturbait quasi quotidiennement depuis l’adolescence, car il me l’avait dit. Il a rigolé, ne prenant pas mon défi au sérieux. Alors, je lui ai dit que je trouverais ça très sexy qu’il m’attende et que je voulais voir à quel point il tenait à moi.

Le samedi nous nous sommes retrouvés au restaurant et je lui ai demandé s’il avait gagné ou perdu notre pari. Il a haussé les épaules et m’a dit à demi-mot qu’il avait presque réussi. Le jeudi matin en se réveillant, il s’était tapé une queue, plus par habitude que par réelle envie. J’ai ri un peu et je me suis moquée de lui. Puis, je lui ai dit que nous ne ferions pas l’amour ce soir-là. Il a pris ça à la légère, mais il a rapidement compris que j’étais sérieuse.

Nous sommes allés chez lui, après le diner, et nous avons regardé un film. J’ai commencé à naviguer sur internet et il m’a demandé ce que je faisais. Je lui ai dit qu’il existait des accessoires qui permettaient de mettre un peu plus de piment à notre petit jeu. Il m’a regardé pendant une seconde, confus. Puis, je lui ai montré ce que je cherchais. Il m’a pris l’ordinateur portable et a zoomé sur l’image d’une cage. Il m’a demandé, incrédule, “ça se met sur la… bite ?” Je lui ai souri. “Oui… Tu ne penses pas que ça rendrait les choses plus intéressantes ? Je serais la seule à avoir la clé.” Il a simplement répondu : “euh…”, sans rien ajouter.

J’ai continué à naviguer jusqu’à trouver une cage de chasteté qui me semblait lui convenir. Un modèle similaire à celle de mon ex qu’il trouvait confortable et efficace.

La suite dans mon prochain billet… ?

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