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Comment ma meilleure amie est devenue ma keyholdeuse


Je me souviens avec émotion du temps passé avec ma meilleure amie. Malheureusement, nos vies respectives nous ont entrainés sur des chemins différents et notre amitié s’est étiolée avec le temps. Outre la distance géographique entre nous, cela est aussi probablement dû à des sentiments que nous n’avons jamais vraiment admis l’un envers l’autre. Quoi qu’il en soit, au plus fort de notre amitié, il s’est passé quelque chose d’intéressant que j’aimerais partager avec vous ici. Je vais vous raconter comment ma meilleure amie est devenue ma keyholdeuse.

Nous avons toujours été très ouverts pour parler des sujets sexuels comme les fantasmes ou les kinks, et nous avons même été friends with benefits pendant un certain temps. Enfin, c’était juste elle qui me faisait des branlettes. Je ne l’ai même pas vue nue. Mais parfois, je l’ai vue en lingerie quand elle se changeait devant moi.
Rapidement, nous avons décidé qu’il valait mieux arrêter les “avantages” pour ne pas mettre notre amitié en danger.
Pourtant, elle adorait me taquiner. Voici quelques exemples :

  • elle portait des talons hauts, des leggings transparents, des jupes très courtes (on pouvait voir sa lingerie) quand on trainait chez elle,
  • elle appuyait ses pieds dans mon entrejambe quand on était assis l’un en face de l’autre à table,
  • elle mettait ses pieds nus près de mon visage quand ont été allongés sur le canapé,
  • elle s’asseyait sur mes genoux et frottait discrètement ses fesses contre mon entrejambe.

Ses taquineries me rendaient fou et je me masturbais de plus en plus souvent. Je ne veux pas tout lui mettre sur le dos, car même si je ne le voyais pas pendant un certain temps, j’étais follement excité et j’y pensais tout au long de la journée. C’était comme si toute ma journée était un long préliminaire à mes masturbations quotidiennes et que je ne pouvais pas me concentrer sur autre chose. J’ai vraiment essayé de me distraire, mais rien n’y faisait alors j’ai commandé une cage de chasteté. À cette époque, j’avais déjà vu du porno à ce sujet et cela m’avait excité. Je me suis également procuré une boite avec un verrouillage temporisé, car je savais que j’étais trop indiscipliné pour rester fort.

Un jour, alors que ma meilleure amie était chez moi, nous avons discuté de sujets sexuels et j’ai évoqué ma dépendance à la masturbation. Elle était un peu choquée que j’eusse l’habitude de me branler tous les jours, matin et soir, car nous n’avions pas parlé de notre vie sexuelle depuis un certain temps. Elle s’est sentie un peu mal pour toutes ses taquineries. Je lui ai dit que ce n’était pas le problème principal et que j’essayais de le gérer avec un dispositif de chasteté.

Comme je l’ai dit, nous sommes très ouverts d’esprit lorsqu’il s’agit de parler de ce genre de choses. Elle était très curieuse parce qu’elle n’en avait jamais entendu parler, alors j’ai commencé à lui donner plus de détails. À la fin, elle voulait voir la cage. Je lui ai répondu que ce n’était pas possible, car je la portais à ce moment-là. Elle m’a regardé et m’a dit : «  Encore mieux, je n’ai jamais vu de bite en cage ». Mon cœur a raté un battement. Je ne pouvais pas dire si elle plaisantait ou pas. Je me sentais aussi très mal à l’aise de montrer à ma meilleure amie ma bite dans un tube en plastique.

Alors, elle m’a fait ses yeux de biche et m’a supplié : « s’il te plaît, je suis si curieuse ! ». Je lui ai fait part de mes sentiments et elle m’a répondu de manière compréhensive et en plaisant : « d’accord, peut-être la prochaine fois ». Mais ce qui s’est passé ensuite m’a coupé le souffle. Elle m’a demandé si je voulais qu’elle garde les clés pour qu’il soit plus facile de résister à l’envie de détruire ma boite à clés. Elle a ajouté que ce serait juste un geste amical et qu’elle voulait soutenir son meilleur ami. Pour être honnête, j’avais déjà eu l’idée de détruire la boite, alors j’ai accepté.

Comme je l’ai dit au début, notre amitié était à son apogée à ce moment-là et nous nous voyions tous les deux ou trois jours. Mais j’étais tellement excité par mes clés que je lui ai rendu visite le lendemain. Et oui, le pluriel est juste, car elle avait les deux clés. La raison de cette grande confiance était les 3 points suivants :

  1. Nous étions amis depuis notre très jeune enfance
  2. Nous vivions à même pas 3 minutes de marche à pied l’un de l’autre
  3. Nous nous voyons très fréquemment.

Juste après l’avoir salué, je lui ai demandé les clés. Elle a dit quelque chose comme : « Wow, tu dois être super excité, aussi gourmand que tu es. C’est quand la dernière fois que tu t’es branlé ? ». Je lui ai répondu que c’était juste hier matin. Elle a rigolé un peu et m’a dit que je pouvais tenir au moins une journée sans branlette. Je lui ai promis que je n’utiliserais pas les clés avant le lendemain, mais elle n’a pas cédé. Elle m’a répondu qu’elle viendrait le lendemain et qu’elle me donnerait les clés. J’ai accepté et j’ai juste passé du temps avec elle. Alors que nous nous disions au revoir, elle m’a dit qu’elle était très fière de moi pour ne pas avoir redemandé les clés.

Le lendemain, elle est venue et m’a donné une clé. Oui, juste une. Elle a dit que l’autre était en lieu sûr chez elle. Ensuite, elle m’a suggéré d’aller prendre une douche et de m’amuser avec moi-même. J’ai trouvé ça un peu bizarre au début et je lui ai demandé de le faire le soir après son départ. Elle a eu l’air très confuse et m’a répondu : « Et ma clé ? ». Attends, quoi sa clé ? Je n’en ai pas fait tout un plat, mais j’ai répondu que je la lui apporterais le lendemain. Elle a répliqué : « désolée, mais ce n’est pas comme ça que ça marche. Nous voulons éviter que tu te masturbes à tout bout de champ. Donc, pendant que je suis là, tu vas te branler une fois et tu vas en profiter pour te laver ». Pour être honnête, j’aimais bien quand elle était directive et bien sûr, nous en avions déjà parlé de genre de chose donc elle le savait très bien. Alors, tout ce que j’ai fait, c’est d’accepter. Quand je suis revenu de la salle de bains, je lui ai rendu la clé.

Puis, elle m’a dit que c’était le moment de faire une vérification. Elle s’est saisie de mon entrejambe, ce qui m’a vraiment choqué » (pas dans le mauvais sens du terme). Pendant qu’elle trifouillait mon entrejambe, elle a dit quelque chose comme : «  ouais, ça ne ressemble pas à une bite… euh, une bite libre… euh, c’est une bite en cage de chasteté, alors tout est OK ». Ça avait l’air tellement humiliant, mais ça m’excitait tellement en même temps. Ensuite, nous avons juste bavardé un peu, pas de taquineries, pas de sujets sexuels.
Alors oui, c’est comme ça que tout a commencé. À partir de là, elle est venue tous les 2 ou 3 jours et le processus était similaire.

Ma meilleure amie m’a déverrouillé

Après que ma meilleure amie soit devenue ma keyholdeuse, elle est souvent venue chez moi pour que je puisse me masturber en prenant une douche. En plus de cela, nous avons également rencontré d’autres amis ou fait d’autres choses ensemble, par exemple aller faire du shopping. Ainsi, hormis les rendez-vous chez moi, je restais verrouillé 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. C’était assez difficile au début (surtout dormir avec la cage), mais après la première semaine, je m’y suis vraiment habitué. J’avais une Holytrainer, donc c’était une cage assez confortable après tout.

Un jour, alors que nous traînons avec des amis, nous avons parlé de refaire quelque chose seuls ensemble. Elle a proposé de se rencontrer chez elle parce que ça faisait un moment qu’on ne s’y était pas vu. J’ai vraiment aimé l’idée et j’étais déjà enfermé depuis 4 jours à ce moment-là, donc j’étais un peu curieux de savoir ce qui allait se passer chez elle.

Je lui ai donc rendu visite le lendemain. Nous nous sommes assis sur le canapé et elle a posé ses pieds nus près de mon entrejambe. Après quelques minutes de conversation, elle m’a dit qu’elle se masturbait le matin et que cela lui permettait de bien commencer la journée. J’ai répondu que j’aimerais bien avoir ce privilège à nouveau. Elle a rigolé et a dit quelque chose comme : « ouais, j’imagine ». Ensuite, elle a appuyé son pied dans mon entrejambe et m’a demandé : «  Alors, ça fait quoi d’avoir sa bite dans une cage ? On n’en a jamais parlé ». J’ai essayé de le lui décrire en lui disant que parfois on oublie même la cage, mais que c’était très différent quand on a la gaule.

Elle m’a répondu : « Je ne peux même pas imaginer ce que ça doit être de sentir que ta bite veut bander, mais qu’il n’y a pas d’espace pour le faire. Je veux dire que ça doit être encore plus dur en tant que grower, non ? » (Elle sait que j’ai un pénis de sang depuis notre période friends with benefits.) À ce moment-là, ma bite luttait farouchement contre la cage. Pour être honnête, depuis qu’elle avait posé son pied sur mon entrejambe. Mais je ne lui ai pas dit ça, je lui ai plutôt dit que c’était une sensation vraiment étrange de bander dans une cage et que c’était difficile à décrire.

« Peut-être que c’est plus facile à décrire avec un visuel qu’avec des mots, comme on dit une image vaut mille mots », m’a-t-elle répondu avant d’ajouter : « sérieusement, qu’est-ce que je dois faire pour voir une bite en cage ? ». Je n’étais toujours pas sûr de vouloir montrer à ma meilleure amie ma queue encagée, alors j’ai répondu avec un sourire : « Google : bite en cage ». On a rigolé un peu, mais elle n’a pas abandonné et a dit : « OK, on va faire un marché. Tu vas baisser ton pantalon pour que je puisse inspecter ta cage et en retour je vais te déverrouiller et te donner ta libération bien méritée ».

J’étais stupéfait et tellement excité que je n’avais plus d’assurance. Pourtant, je voulais être sûr que ce n’était pas une idée irréfléchie de sa part. Alors je lui ai rappelé que c’était son idée de mettre fin à notre arrangement et je lui ai demandé si elle était sûre de vouloir à nouveau faire des choses sexuelles avec son meilleur ami. Elle m’a répondu que je l’avais mal comprise et m’a expliqué qu’elle voulait simplement m’aider à me débarrasser d’un problème, car c’est ce que font les meilleurs amis. Et que si elle remarque que je prends trop de plaisir, elle arrêtera immédiatement (quoi que cela veuille dire).

Je ne savais toujours pas si elle se rendait compte de l’ampleur de la situation, mais comme elle voulait voir la cage sur moi et qu’elle avait encore cette idée en tête, je me suis dit qu’elle devait y avoir mûrement réfléchi. J’ai donc accepté. Elle était super contente et a sorti la clé directement de la poche arrière de son jean. Alors oui, je pense qu’elle y avait très bien réfléchi. J’ai défait mon pantalon et j’ai sorti ma bite en cage.

Ma meilleure amie était hypnotisée par la vue et a mis la main sur ma cage tout en tenant la clé dans l’autre. Elle m’a regardé dans les yeux et m’a demandé : « Tu bandes ? ». J’ai hoché la tête. « Wow, pas facile à dire à l’intérieur de ce truc » et elle a commencé à branler ma cage. Au bout d’un moment, elle a gloussé et a demandé ce que ça faisait. Je lui ai répondu que je ne sentais presque rien. Elle m’a demandé effrontément pourquoi j’étais si dur à ce moment-là. Je lui ai répondu que ça m’excitait qu’elle soit ma keyholdeuse. Elle m’a répondu qu’elle aimait ça aussi et qu’elle apprenait à aimer ce genre de pouvoir sur moi.

C’était tellement excitant et je l’ai senti devenir excitée aussi, alors je lui ai empoigné les fesses. Mais sa réaction m’a vraiment surpris. Elle m’a giflé et m’a dit que ça ne se faisait pas de peloter le cul de sa meilleure amie. J’étais assez confus et avant que je puisse dire un mot, elle m’a dit de m’asseoir sur mes mains avant de perdre à nouveau le contrôle. Sans réfléchir, je l’ai fait. Encore une fois, elle m’a dit de bien me comporter avant de me déverrouiller. J’ai de nouveau acquiescé.

Elle a saisi ma cage, a pris la clé et m’a finalement déverrouillé. Lentement, elle a retiré la cage et tout en faisant cela, elle a dit avec un visage stupéfait : «  C’est étonnant que ta bite puisse tenir dans une si petite chose ». Ensuite, elle a essayé de retirer l’anneau, mais je bandais trop. Je lui ai demandé si elle avait besoin d’aide. Elle m’a répondu que tout allait bien et que nous le laisserions en place, car nous en aurons besoin de toute façon après que j’ai joui. Alors, elle a commencé à caresser lentement et il n’a pas fallu longtemps avant que je lui dise que j’étais sur le point de venir. Elle a attrapé tout mon sperme avec sa main et est allée à la salle de bains très rapidement pour se nettoyer. Pendant qu’elle se lavait les mains, elle m’a appelé pour que je la rejoigne et que nous puissions aussi me nettoyer un peu.

J’étais excité et je suis allé à la salle de bain assez rapidement. Elle m’attendait avec un gant de toilette et m’a nettoyé avec. Ensuite, elle m’a demandé si j’étais d’accord pour que ce soit elle qui m’enferme à nouveau. Je lui ai dit que j’aimerais beaucoup qu’elle le fasse, mais je lui ai demandé si je pouvais être libre pour le reste de l’après-midi. Elle a dit qu’elle commençait à s’habituer à ce que je sois enfermé près d’elle et qu’elle se sentirait plus à l’aise si nous le faisions maintenant. C’était un peu bizarre, mais super chaud en même temps alors j’ai accepté.

Nous sommes donc retournés au salon, où elle a remis la cage en place et a commencé à y remettre ma queue. C’était un peu difficile parce que je n’étais pas complètement mou à ce moment-là. Alors, je l’ai aidée à la remettre en place. C’est elle qui a remis le verrou et m’a enfermé. On s’est topé dans la main et elle a dit : « C’est ce que font les meilleures amies, verrouiller la bite de leurs meilleurs amis ». On a tous les deux gloussé et après avoir traîné quelques heures de plus, je suis parti.

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