AccueilExpériencesRécitsElle dévoile la chasteté de son colocataires à ses amies

Elle dévoile la chasteté de son colocataires à ses amies


Albane salua son colocataire lors qu’il rentra enfin du boulot.

« Gabriel, je sors avec les filles ce soir ! Ça fait des semaines que je ne suis pas sortie. Ça va être bien de se détendre. Tu devrais venir avec nous ! Et je pourrais être ta “co-pilote” pour la soirée, tu sais je pourrais bien réussir à te brancher avec une meuf », annonça Albane.

Gabriel était célibataire depuis un certain temps, et il était toujours mal à l’aise en essayant d’aborder des filles et de leur parler.

— Merci pour l’invitation, mais tu sais que je n’aime pas vraiment trainer dans les bars et tout ça. J’espérais passer une soirée tranquille ce soir. Il se sentait toujours mal à l’aise d’aborder la partie suivante : « Et peut-être que tu pourrais garder ma clé pour ce soir ? »

— Ouais, OK. Mais je n’arrive pas à croire que tu préfères jouer avec cette petite cage à bite plutôt que de sortir avec des filles et d’avoir une vie sociale. Je vais la garder pour ce soir, mais tu vas devoir te trouver rapidement une meuf, et une vie sociale.

Il se remémorera comment elle avait commencé à garder sa clé. Ils s’étaient rencontrés à l’université et étaient devenus rapidement amis. Albane a toujours été une fille très ouverte et tolérante sur le plan sexuel. Ils ont flirté ensemble avec l’idée d’une relation amicale avec bénéfices, mais ont décidé qu’ils n’étaient pas compatibles de cette façon. Mais en raison de son ouverture d’esprit vis-à-vis du sexe, il n’était pas inhabituel qu’ils discutent de leurs vies sexuelles ensemble.

Gabriel était un jeune homme plutôt mignon, mais timide. Il aimait les femmes et avait déjà eu quelques petites amies au fil des ans. Mais ses derniers temps, plutôt que de sortir, il se retrouvait tard dans la nuit à visiter des sites web de plus en plus coquins. Un soir, il tomba sur la vidéo d’un couple dont la femme avait donné un orgasme ruiné à son partenaire avant de le verrouiller dans une cage de chasteté. Il a été immédiatement attiré par l’idée et dès le lendemain il en commanda une et commença à l’expérimenter par lui-même. Il aimait se sentir excité et ne pas pouvoir y faire quoi que ce soit. Cela ne faisait que l’exciter davantage et créait un cycle croissant de désir.

C’était devenu une véritable obsession et quelque part il se sentait gêné par son kink, et il n’a jamais eu l’intention de révéler ce petit secret à Albane. Mais un samedi soir, elle a ouvert son ordinateur portable qu’il avait laissé sur la table basse du salon pour chercher les indications pour se rendre à une soirée, et elle est tombée par hasard sur un site consacré à la chasteté masculine contrôlée. Même si elle pensait bien s’y connaitre en matière de sexe, elle n’en avait jamais entendu parler et elle était remplie d’interrogations.

— Donc, tu portes ce truc pour t’exciter, mais tu peux que compter sur toi pour ne pas l’enlever ? Combien de temps tiens-tu habituellement ?, lui demanda-t-elle.

— Je regarde du porno pendant quelques heures pour être vraiment excité. J’essaie de la garder aussi longtemps que possible, mais au bout de quelques heures, je ne plus supporter la frustration. Alors, je la déverrouille et j’ai un orgasme incroyable.

— Alors, si je comprends bien, plus longtemps tu te refuses, plus l’orgasme est bon ? Eh bien, je serai partie quelques heures, et peut-être qu’avec un peu de chance je passerai la nuit chez un mec. Pourquoi je ne garderais pas tes clés jusqu’au lendemain matin ? »

Gabriel se sentit gonfler dans sa cage. Il n’avait jamais véritablement abandonné le contrôle avant.

— Ça ne serait pas bizarre que tu gardes les clés de ma bite ? Je ne voudrais pas te mettre dans une position inconfortable.

Albane se moqua de lui.

— C’est ta bite qui va être enfermée dans un petit tube et tu as peur que ce soit moi qui soit mal à l’aise ? C’est mignon, mais ne t’inquiète pas pour moi. Ça ne change rien à notre relation. Je vais simplement garder un jeu de petites clés, et nous resterons toujours strictement des amis.

Gabriel mentirait s’il disait qu’il n’a jamais pensé à lui donner les clés. D’habitude, ses fantasmes impliquaient aussi de coucher avec elle, mais il trouvait étrangement excitant qu’ils n’aient jamais couché ensemble.

Cette nuit-là, il eut sa première vraie expérience de la chasteté. Il se retrouva rapidement au niveau d’excitation à laquelle il se déverrouillerait habituellement, mais là, il ne pouvait rien faire. Il essaya de dormir, mais il a continué à palpiter dans sa cage jusqu’au matin. Le lendemain, il était ravi quand Albane a déposé ses clés sur la table du salon.

— Je n’ai jamais été baisée aussi bien. Je pense que ces clés portent chance ! Peut-être que tu pourrais me les redonner pour mon rencard du week-end prochain aussi ?

Gabriel prit les clés, et s’enfuit dans sa chambre pour se masturber. Toute la nuit, il a regretté qu’elle ait découvert son penchant pour la chasteté. Et alors qu’il se caressait, son esprit s’embrouillait encore plus jusqu’à ce qu’il atteigne l’un des meilleurs orgasmes de sa vie. Alors qu’il essuyait les jets de sperme sur son ventre, sa poitrine et son visage, il savait que sans elle il ne serait jamais parvenu à l’intensifier l’expérience ainsi. En lui confiant les clés, elle lui garantissait qu’il ne pourrait pas se libérer plus tôt pour atteindre un orgasme moins gratifiant. Il avait repris ses esprits, il était apaisé, il savait qu’il lui redonnerait les clés. Il avait besoin de perdre le contrôle sur ses clés. C’est ainsi qu’a commencé le rituel de la remise des clés entre colocataires.

Six mois s’étaient écoulés depuis cette première nuit, mais il n’avait pas été verrouillé depuis quelques semaines. Gabriel s’était habitué à se détendre après une journée de travail avec des jeux vidéo et une petite branlette. Mais, ce soir, l’idée de porter la cage de chasteté l’excitait.

Albane voulait aider son colocataire à sortir. « Tu es sûr que tu ne veux pas venir ? Je suis sûre qu’on pourrait t’aider à te trouver une fille excitée à ramener à la maison. Ça fait combien de temps ? »

— OK, OK, j’ai compris. Mais la prochaine fois. J’ai vraiment besoin d’une soirée tranquille, tout seul ce soir. Laisse-moi juste la verrouiller maintenant.

Il est allé dans sa chambre et a sorti sa boîte de jouets de son armoire. Il a pris la cage de chasteté et l’a inspectée. Ce n’était pas vraiment un accessoire compliqué. Un anneau pour aller derrière les couilles, un tube pour le pénis et une serrure pour maintenir le tout en place. C’était sa quatrième cage depuis qu’il avait commencé et comme il n’avait jamais trouvé de cages parfaitement ajustées il avait décidé de s’offrir une cage sur mesure. L’anneau était suffisamment petit pour que ses boules ne puissent s’échapper une fois verrouillée, mais suffisamment grand pour ne pas entraver la circulation sanguine.

Le tube qui contenait le pénis était petit, particulièrement petit, mais Gabriel essayait de ne pas y prêter attention. Il était un grower, autrement dit il avait un pénis de sang, et il était fier de sa taille en érection. Mais il avait découvert que la cage était plus confortable si elle était juste un peu plus petite que sa taille lorsqu’il était complètement flasque. Alors qu’il regardait l’espace dans lequel son pénis serait confiné, il a ressenti les agitations familières d’un début d’érection. Il a rapidement fait glisser l’appareil en place et l’a verrouillé. Il a senti un battement lancinant à l’intérieur de la cage et a décidé de remettre la clé avant d’être tenté de se branler une dernière fois.

Gabriel revint au salon et donna la clé à Albane. Elle ajouta nonchalamment l’unique clé à son collier et la laissa pendre entre ses seins.

— Nous allons dans la vieille ville. Célia a besoin d’un peu de réconfort après ce que son mec lui a fait cette semaine. Enfin, son ex maintenant.

— Célia ? L’intérêt de Gabriel a soudainement changé, il ne s’intéressait plus à la clé. Il n’avait pas revu Célia depuis des lustres. « Que s’est-il passé ? »

— Cet enfoiré l’a trompée et a ensuite prétendu que ce n’était pas grave quand elle l’a découvert. »

Célia avait été dans le cours d’économie de Gabriel et d’Albane à l’université. Elle était adepte des grasses matinées et portait souvent de simples leggings, inconsciente de l’effet que cela avait sur Gabriel et sur les autres garçons. Une fois qu’il s’était remis de son corps magnifique, il a découvert qu’elle était en fait assez intelligente et gentille aussi. Elle avait passé des heures à aider Gabriel sur un sujet particulièrement difficile et il lui attribuait toujours le mérite d’avoir réussi son partiel. Il a pensé à lui demander de sortir avec lui une douzaine de fois, mais elle semblait toujours voir quelqu’un.

Gabriel envisagea à accepter la proposition d’Albane et sortir avec elle juste pour voir Célia, mais il se ravisa, il ne voulait pas paraitre désespéré en agissant aussi rapidement juste après qu’elle ait rompu avec son ex.

— Fais de ton mieux pour lui remonter le moral. Et dis-lui que je la salue !

Il s’est vite retrouvé seul dans l’appartement. Il a essayé de regarder quelques vidéos, mais il ne pouvait que penser à Célia.

◆◆◆

Albane rejoignit Célia et Lucie à leur bar préféré, avant de naviguer d’un bar à l’autre. Avec leurs shorts courts et leurs crop-top, elles n’avaient pas peur de montrer leur corps et ont été remarquées par de nombreux gars. Après quelques heures de danse, Célia et Albane ont pris une table pour se détendre pendant que Lucie flirtait avec un gars.

— Je suis tellement heureuse que nous ayons pu reprendre contact. Alors, qu’est-ce que tu as fait depuis la remise des diplômes ? », demanda Célia. Bien qu’elles aient passé toute la soirée ensemble, Célia n’avait pas eu l’occasion de vraiment rattraper le retard avec Albane.

— J’ai réussi à trouver un emploi dans une entreprise pas loin d’ici. Je partage un appartement avec Gabriel en ce moment. Tu te souviens de lui, il était avec nous en en cours d’économie ?

— Vous vivez ensemble ? Est-ce que tous les deux vous êtes… ?

— Oh, non. Nous sommes justes amis et colocataires.

Célia a toujours aimé Gabriel, et elle le trouvait plutôt mignon aussi.

Lucie revenait d’une autre tentative de flirt ratée.

— Pourquoi est-ce que tous les hommes sont des porcs ? J’aimerais juste qu’il y ait un moyen de faire confiance à un homme. Je pensais avoir établi un lien avec ce type en chemise rouge tout à l’heure, mais il est parti avec une autre meuf !

— C’est pas à moi qu’il faut dire ça, meuf. Ce salaud de Maxence couchait à droite à gauche depuis des mois. Si seulement nous étions des chevalières et pouvions les enfermer dans des ceintures de chasteté ou un truc du genre », répliqua Célia.

Albane fut interloquée quand elle entendit Célia mentionner les ceintures de chasteté. Elle caressa machinalement la clé autour de son cou. Elle s’était adonnée au jeu de chasteté de Gabriel en espérant que cela le motiverait à se trouver une copine. Et, elle savait que Gabriel et Célia avaient un béguin mutuel, en plus Célia avait besoin d’un changement par rapport aux genres de types qu’elle fréquentait habituellement. Peut-être qu’elle pourrait jouer les entremetteuses.

— Genre, comme ses ceintures de chasteté médiévale, mais pour les mecs, ajouta Célia.

— Ouais, ce serait bien, mais pensez-vous que ces ceintures de chasteté étaient vraiment réelles ?, demanda Lucie.

Après un moment d’hésitation, Albane se lança : « Non, c’est des conneries, ça n’a jamais existé. Mais aujourd’hui, ça existe pour de vrai. Il y a en cuir, en acier, bref plein de modèles différents. D’ailleurs, on en trouve plus pour les mecs que pour les meufs. En fait, c’est pas vraiment une ceinture, mais plus une cage… à bite. »

— Oh, Albane, espèce de coquine, comment tu sais ça ? », demanda Lucie.

— « Je sais beaucoup de choses ! », répondit Albane. Elle décida qu’il était temps de mettre son plan à exécution. « Je crois que j’ai eu ma dose de bars et de musique pour ce soir. Pourquoi ne pas aller chez moi pour mater un film et boire un verre ? »

Les autres filles en avaient assez de la musique assourdissante et étaient enthousiastes par la proposition. Albane envoya un texto à Gabriel avant que les filles ne se dirigent vers son appartement.

◆◆◆

Gabriel avait oublié à quel point le port de la cage pouvait être frustrant. Il avait surfé sur ses sites pornos préférés et regardé les dernières vidéos. La cage amplifiait ses sensations. N’importe quel mec pouvait se donner quelques habiles coups de poignet et revenir à la normale, mais Gabriel fut forcé de faire face à son excitation. Il regarda une vidéo en imaginant que c’était Célia qui lui faisait une pipe. Sa bouche serait divinement délicieuse en avalant chaque centimètre de sa bite. Il avança la vidéo jusqu’à l’éjaculation, en ayant envie de faire ce qu’il ne pourrait pas faire ce soir. Une notification sur son téléphone le ramena à la réalité.

On vient squatter à l’appartement. Film et bouteille de vin. Joins-toi à nous.

Gabriel paniqua en lisant le message. Il avait l’intention de regarder quelques vidéos avant de se détendre avec ses jeux vidéo.

Non, ne panique pas, se dit Gabriel. Ça pourrait être une bonne chose.

Célia allait venir, et il avait besoin de faire sa meilleure impression.

Il avait d’abord besoin de se rafraîchir. Il se déshabilla pour prendre une douche et regarda sa cage. Il devait obtenir les clés de Albane discrètement. Ensuite, il pourrait se détendre et essayer de montrer un peu de son charme à Célia. Il se dépêcha de se laver, enfila sa plus belle tenue et finit par se brosser les dents quand il entendit la porte d’entrée s’ouvrir.

Gabriel salua les filles et leur fit la conversation pendant qu’elles s’installaient. Il demanda à Albane de l’aider à préparer des collations dans la cuisine pour l’éloigner de ses amies.

Il pointa la clé autour de son cou. « Donne-la-moi. J’ai besoin de l’enlever. »

— Pour quoi faire ? Tu ne vas pas me dire que tu veux te branler alors que mes amies sont ici, non ?, s’exclama Albane.

— Non, bien sûr que non, mais…

— Eh bien, alors je ne vois pas pourquoi tu devrais l’enlever. Je te rappelle que je suis censée te la rendre que demain matin. En fait, j’ai une sorte d’aveu à faire. Plus tôt, j’ai commencé à discuter avec les filles de cages de chasteté et…

Une voix dans le salon l’interrompit.

— Vous venez ?, cria Lucie.

Albane sourit à Gabriel avant de rejoindre le salon.

Cages de chasteté et quoi ? Est-ce qu’elles savaient ? Gabriel s’inquiétait en rejoignant les filles. Elles ne le traitaient pas différemment. Peut-être qu’elle se moquait juste de lui.

Les filles ont discuté du film à regarder, mais Gabriel ne prêtait pas vraiment attention jusqu’à Lucie prenne la parole. « Je repensais aux ceintures de chasteté. Je ne pense pas que je pourrais en porter une. »

— Non. Moi non plus. Je ne vois pas comment tu pourrais vivre avec une ceinture de chasteté. Qu’as-tu dit tout à l’heure Albane à propos de ces trucs de chasteté pour les mecs ? Tu parlais de cages à bites. Je parie qu’elles sont beaucoup plus petites. », dit Célia.

— Oh, celles que j’ai vues sont toutes petites. Le tout tient dans la paume de la main. Les gars peuvent en porter une et vaquer à leurs occupations comme d’habitude. Ça ne devient inconfortable que lorsqu’ils essaient de bander, répondit Albane.

— Si j’avais su ces choses, j’aurais enfermé mon ex et jeté les clés. Ce serait tellement drôle de l’enfermer dans ce truc pour toujours. », commenta Lucie.

— Je pourrais essayer d’en faire porter une à mon prochain petit ami. Comme ça, je n’aurais pas à m’inquiéter qu’il me trompe. En plus, j’ai toujours été un peu taquine, commenta Célia.

— Gabriel, qu’en penses-tu ? Serais-tu prêt à en porter une un jour ?, lui demanda Lucie.

— Pour être honnête, je suis un peu effrayé par votre empressement à verrouiller un gars dans la chasteté. Je pense qu’en porter une pendant un jour ou deux est déjà assez long. En fait, c’est plus difficile que vous ne le pensiez parce que vous devenez de plus en plus excité, mais vous ne pouvez même pas avoir une érection en en portant une, répondit Gabriel en regardant ses pieds.

— Comment peux-tu savoir à quel point c’est difficile à porter ?, demanda Célia.

— Non, je… je suppose que ce serait difficile, je suppose. » Gabriel trébuchait sur ses mots. Il regarda Albane désespérément pour qu’elle le sorte de là.

Après un moment de gêne, Albane haussa les épaules et lui a souri en retour. « En fait, c’est Gabriel qui m’a tout appris sur la chasteté. Il s’intéresse vraiment à ce genre de choses. »

— Albane !, s’écria Gabriel qui resta bouche bée. Il n’arrivait pas à croire qu’elle avait révélé son secret

— Pourquoi quelqu’un voudrait-il porter quelque chose comme ça ? Je n’y crois pas, répondit Lucie.

— C’est bon Gabriel. Montre-leur. On a parlé de chasteté toute la soirée. Ça serait vraiment cool si tu pouvais leur montrer comment ça marche. Vous voyez, parfois il la met avant que je sorte le week-end et je porte la petite clé autour de mon cou.

Albane tendit la clé pour que les filles la voient.

— Quoi ? Attends, tu veux nous faire croire qu’il la porte en ce moment ? Arrête, c’est des conneries !, dit Lucie en rigolant de l’absurdité de l’idée.
Gabriel était rouge d’embarras, mais il ne voyait plus comment s’en sortir face à l’insistance des filles. Il déboutonna son jean avant de le baiser, dévoilant son boxer qui laissa deviner les contours de la cage et une tâche humide.

— T’as pissé dans ton froc ?, ricana Lucie.

— Mais non, c’est des larmes de chasteté. Les garçons chastes quand ils sont excités mouillent leur culotte plus qu’une femme, dit Albane.

◆◆◆

Après un clin d’œil d’encouragement d’Albane, il fit glisser son boxer à ses pieds révélant son membre en cage et un filet de pré-cum qui coulait de la pointe de la cage jusqu’à ses genoux.

— Eh bien, il doit être sacrément excité le coquin, commenta Lucie.

— Oh purée, elle est si petite ! Est-ce que toute ta bite est vraiment à l’intérieur de ce petit tube ?, commenta Célia en s’approchant pour mieux voir.

— Elle est pas plus longue que mon pouce ! », rigola Lucie.

— « Non ! » Gabriel tenta de défendre sa virilité auprès des filles qui gloussaient. « Il faut qu’elles soient petites pour éviter de bander. Quand j’ai une érection, elle est beaucoup plus grosse. »

— Les mecs exagèrent toujours. Quelle est sa taille, Albane ?,  demanda Lucie.

— Euh, je sais pas, je l’ai jamais vue ! Tu sais, on est pas des potes de baise ou quoi que ce soit. Je garde juste sa clé, simplement comme une amie. Je l’ai déjà vu nu, mais il était toujours en cage. Pour ce que j’en sais, c’est aussi gros que ça, répondit Albane.

— Eh bien “P’tit bout”, peu importe la taille que ça peut prendre quand, tu es déverrouillé, tu as une bite pas plus longue que mon pouce ce soir et aussi longtemps que Albane garde cette clé. Donc, tant que tu porteras cette cage, je t’appellerais “P’tit bout”, taquina Lucie.

— Je trouve que c’est mignon, “P’tit bout”, commenta Albane.
Comme si dévoiler sa cage n’était pas suffisant, Gabriel eut honte quand les filles l’appelaient “P’tit bout”. Il a toujours pensé que la taille de sa bite était une qualité rédemptrice de sa vie sexuelle. Célia s’est mise à genoux pour mieux observer.

— « Tu ne peux vraiment pas sortir de ce truc ? », demanda-t-elle alors que son visage n’était qu’à quelques centimètres de son pénis encagé.

— « Non, elle est verrouillée pour de vrai… » Gabriel ne pouvait pas croire que Célia était aussi proche de sa virilité, et il a commencé à ressentir des pulsations familières.

— Est-ce qu’il essaie de bander ? Célia, regarde ! Ça rebondit ! Tu ne peux pas te mettre à genoux devant un gars comme ça sans qu’il ait des idées, commenta Lucie.

— Pourquoi porter ce truc si tu es excité et que tu veux du sexe ? , demanda Célia, envoûtée par les battements juste devant son visage.

— Eh bien, parfois c’est amusant d’être excité et de ne pas être mesure d’obtenir un quelconque soulagement et ça fait du bien quand je l’enlève enfin, répondit Gabriel.

— Oui, mais je ne garde que la clé pendant une nuit. Je doute qu’il reste plus de 24 heures enfermé là-dedans, dit Albane.

— Seulement un jour ? C’est un peu décevant. Combien de temps pourrais-tu la porter ? Imagine si Albane avait décidé de ne pas te rendre la clé ?, demanda Lucie.

—  Oh, je ne ferais jamais !, répondit Albane.

— Oui, mais, imaginons, si c’était le cas. Combien de temps pourrais-tu la porter ? Assez longtemps pour qu’on puisse partir en croisade ? Les filles ont ri.

— Eh bien, je peux utiliser les toilettes et prendre ma douche avec. Il n’y a aucune raison médicale pour laquelle je devrais l’enlever, mais cela me rendrait fou. », commenta Gabriel.

— « C’est trop cool… », dit Célia en se redressant.

— OK, je pense que c’est assez embarrassant pour lui. Merci “P’tit bout”, pour cette démonstration. », dit Albane. « Lucie, je crois que tu as parlé de cette nouvelle comédie romantique qu’on pourrait regarder ? »

— Oh oui !

Gabriel remonta son boxer et son pantalon, content que la torture soit enfin terminée. Il voulait juste s’échapper dans sa chambre. Comment pouvait-il rester avec elles maintenant qu’elles savaient qu’il portait ça ? Ses pensées ont été interrompues quand Célia a attrapé son bras et l’a guidé vers le canapé.

— Assieds-toi Gabriel, je vais aider Albane à apporter les verres », lui dis Célia.

Elle n’arrêtait pas de penser à ce qu’il y avait sous son jean. A l’extérieur, il semblait tout à fait normal, mais son pénis était enfermé dans une minuscule prison ! Et, il n’avait même pas les clés ! Ils allaient tous s’asseoir dans le salon maintenant, comme si tout était normal. Sentant l’excitation monter entre ses jambes, elle savait qu’elle n’allait pas laisser passer cette occasion.

Célia ramena des verres et une bouteille de vin avant de s’asseoir sur le canapé à côté de Gabriel. Albane et Lucie avaient toutes les deux pris place dans un fauteuil. Elle attendait impatiemment le début du film. Quand elle a vu Albane et Lucie s’enfoncer dans leurs fauteuils et être absorbées par le film, elle a su qu’elle pourrait taquiner Gabriel sans qu’elles s’en aperçoivent.

Elle tapota l’épaule de Gabriel et lui à chuchoter : « J’ai mal aux pieds à force de danser avec ces talons. Pourrais-tu les masser ? »

Gabriel a essayé de la jouer cool, mais la pensée de toucher ses magnifiques pieds et ses belles jambes l’a rendu muet. Il hocha la tête et elle doucement levées ses jambes et planta ses pieds nus directement sur sa cage de chasteté.

Gabriel lui lança un regard étonné, mais elle a juste souri et a fait semblant de regarder le film. Il hésita à la toucher au début, mais elle l’a encouragé en traçant lentement le contour de sa cage avec ses orteils. Il sentait sa bite s’étendre jusqu’aux limites permises par les barreaux de sa prison d’acier. Bien que frustré, une parie de lui apprécié. Il s’est concentré sur le massage de ses pieds et à la faire se sentir aussi bien que possible. Il ne regardait même plus l’écran. Toute son attention était portée sur ses pieds. Il regardait de haut en bas ses jambes toniques. Il aperçut sa culotte à travers son short et sa tentative d’érection repris de plus belle.

Il ne fallut pas longtemps pour que Célia se détende complètement. Elle ne prêta guère attention au film. Elle s’est concentrée sur le fait de sentir la cage avec ses pieds et de profiter des tentatives de Gabriel pour cacher ses réactions.

Elle avait l’impression qu’il la massait depuis une heure, mais elle voyait bien qu’il adorait les taquineries. Elle a décidé de continuer à le traiter comme elle imaginait qu’un homme intéressé par la chasteté voudrait être traité.

— Albane Chérie, as-tu une couverture ? Il fait super froid ici et mon short ne me tient pas très chaud.

— Bien sûr. J’en ai quelques-unes dans mon armoire, Albane se dirigea vers sa chambre.

Célia saisit la main de Gabriel et la guida lentement le long de son mollet et de sa cuisse.

— Je crois même que j’ai la chair de poule. Tu sens ça, Gabriel.

Célia tenait sa main à l’intérieur de sa cuisse à quelques centimètres de sa culotte.

Albane revint avec une couverture pour elle et une pour Lucie. « Désolé Gabriel, il ne m’en reste qu’une pour Célia ».

— T’inquiète pas, ça va aller ! On va partager.

Célia retira ses pieds des cuisses de Gabriel pour la première fois depuis le début du film. Gabriel savait qu’il ne fallait pas croire que ses taquineries impitoyables prendraient fin. Elle se blottit contre lui et étendit la couverture sur eux deux.

Célia ne perdit pas de temps. Maintenant qu’elle avait un peu d’intimité, elle n’avait plus besoin d’être subtile. Elle déboutonna le jean de Gabriel et passa sa main sous l’élastique de son boxer pour saisir sa cage. Elle pouvait ressentir à quel point ses tentatives d’érection étaient fortes en sentant les pulsations de son paquet. Elle caressera son gland à travers les barreaux. C’est vrai qu’il mouillait comme une petite salope excitée signe que ce qu’elle lui faisait lui plaisait. Elle soupesa ses couilles avant de les masser lentement, elle pouvait sentir qu’elles étaient aussi gonflées.

Tout en continuant à le taquiner, elle a utilisé son autre main pour le guider vers l’intérieur de sa cuisse, juste contre sa culotte.

Elle lui a murmuré à l’oreille : « Tu sens la chaleur de ma chatte ? C’est toi qui me fais cet effet-là. » D’une certaine manière, Célia compatissait à la façon dont Gabriel devait se sentir, car elle était désespérément excitée et voulait elle-même un doux soulagement.

Le moment a été brisé lorsque Lucie a hué à l’écran. « J’ai vu cette fin venir depuis un moment ! » Célia retira rapidement ses mains et s’assit. Le temps leur avait échappé.

— Lucie poursuivit : « Il est un peu tard, Albane, ça te dérange si dors chez toi ce soir ? »

— Pas de problème, répondit Albane. Je vais aller l’installer. Gabriel, tu crois que tu pourrais prendre un pyjama chaud et dormir ici sur le canapé et laisser Célia dormir dans ton lit ?

— Oh, ce n’est pas nécessaire. Je vais simplement partager avec Gabriel. », dit Célia en souriant à Gabriel.

Malgré toute l’attention que Célia lui avait accordée ce soir, il était encore sous le choc. Il pensait que le plaisir de la soirée était déjà terminé. Et si ça ne faisait que commencer ?

— Tu es sûr que c’est une bonne idée ?, demanda Albane.

— Franchement, nous savons toutes les deux que Gabriel sera un parfait gentleman, répondit-elle en passant sa main sur son entrejambe.

— Haha, je suppose que tu n’as pas tort. J’ai aussi un pyjama si tu veux.

◆◆◆

Gabriel est allé dans sa chambre tandis que Célia est allée emprunter un pyjama à Albane. Il s’est rapidement mis en pyjama. Une vingtaine de minutes plus tard, Célia est entrée et s’est assise à côté de lui.

— Hé Gabriel… C’est notre première vraie chance de parler de tout ça. Comment te sens-tu ? Je peux dire que ça te plait, mais j’espère que je ne suis pas allée trop loin », a-t-elle dit avec une sincère bienveillance dans sa voix.

— Je n’ai jamais été aussi excité comme ça. Tu es une allumeuse incroyable, dit-il.

— Alors…, elle lui a tenu la main. Est-ce que je te plais ?

— Eh bien, oui. J’ai toujours eu le béguin pour toi, mais tu voyais toujours quelqu’un.

— OK, voilà le truc. Je t’aime bien aussi, mais j’ai déjà été trop souvent blessé par des mecs qui me trompent. Ça me rendrait vraiment heureuse si on était petit-ami et petite-amie, mais la cage de chasteté fait partie du marché.

Elle s’est arrêtée un moment pour évaluer sa réaction. Comme il n’objecta pas, elle continua.

— Je vais demander à Albane de me remettre la clé, mais prépare-toi à une chasteté permanente. Tu ne seras déverrouillé que lorsque qu’on fera l’amour et si j’en ai envie. Je pourrais vouloir faire l’amour plusieurs jours de suite, ou tu pourrais resté en cage pendant des semaines, peut-être un mois. Je ne sais pas, je n’ai pas de limite. Tu as bien dit que la cage pouvait être portée indéfiniment, n’est-ce pas ? Donc, ça ne devrait pas poser de problème. Je sais que c’est beaucoup demander, mais t’inquiète pas, on prendra notre temps. Ce sera une relation normale, sauf pour ça.

Gabriel ne pouvait pas croire ce qu’elle lui demandait. Il rêvait d’être avec Célia depuis des années. Rien ne pouvait être plus important que cela, mais la chasteté sans limites ? Il pensa à essayer de négocier des temps de verrouillage maximum, ou n’importe quoi pour la faire changer d’avis. Mais il savait que sa décision était prise, et il ne voulait pas qu’elle pense qu’il était juste un autre mec obsédé par sa bite. Gabriel pensa aux taquineries incessantes qu’il avait reçues ce soir. Aussi dur que cela a été à endurer, il a finalement décidé qu’il pourrait faire face à être enfermé si cela signifiait qu’il pouvait être avec elle.

— Ça a l’air charmant. Je serai ton petit ami.

— Encore une chose, j’aurais la clé, donc c’est moi et moi seule qui décide quand, où et comment on l’utilise et sortir de la cage ne veut pas dire nécessairement que tu vas jouir.

Il ferma les yeux et se pencha en avant pour un baiser. Il ignora la tension contre les barreaux de sa cage et s’est entièrement concentré sur leur premier baiser. Ils explorèrent les lèvres de l’un et l’autre et peu après leurs langues.

Avec n’importe quel autre mec, ils baiseraient après quelques instants d’embrassade, mais la cage enfermée autour de son pénis lui permettait d’avoir autant de préliminaires qu’elle le souhaitait. C’était assez agréable de s’embrasser juste pour le plaisir d’embrasser. Après une longue séance de baisers passionnés, Célia n’a pas pu retenir son excitation grandissante.

— Tu embrasses si bien avec ta langue, tu sais ? Tu pourrais peut-être m’embrasser un peu plus bas ? »

Elle s’allongea sur le dos et baissa sa culotte.

—  Je veux que tu goûtes à quel point tu m’as excitée.

Gabriel avait déjà fait ça avec d’anciennes copines, mais il n’en avait jamais fait une priorité. À chaque fois, c’était un échauffement rapide avant la pénétration. Maintenant que cette possibilité lui avait été retirée, il n’avait plus d’autre choix que de se concentrer sur ce qu’il faisait.

Sa langue explora chaque partie de son sexe délicat. Il était attentif à ses réactions lorsqu’il lécha ses lèvres et son clito tout en ignorant la rage entre ses propres jambes. Son propre plaisir sexuel ne signifiait rien à ce moment-là et il continua à embrasser sa délicieuse chatte. Il savait qu’il avait trouvé le rythme parfait lorsqu’elle appuya sa tête contre elle.

—  Ne t’arrête pas ! dit-elle en surfant sur une vague de plaisir.

Elle se sentait comme une déesse par l’empressement qu’il mettait à la dévorer. Est-ce que c’est ce que la chasteté fait à un homme ?

Gabriel perdit la notion du temps alors que son visage, recouvert de son jus, était appuyé contre sa chatte et son esprit était perdu dans un brouillard de luxure. Toute son existence était centrée sur l’adoration de la déesse qui se trouvait devant lui. Il sentit ses cuisses se resserrer autour de sa tête et commencer à se contracter de façon incontrôlable, mais il ne s’arrêta pas. Il a maintenu son rythme et a pu vivre son incroyable orgasme avec son visage intimement appuyé contre sa chatte frémissante. Avec ses sens submergés, il a commencé à pousser désespérément sa bite en cage contre le lit, encore et encore. Toute sa conscience dégoulinait de luxure et il ne pouvait plus contrôler ses pulsions primaires.

Célia l’attira vers le haut, de sorte qu’il était allongé directement sur elle. « Putain de merde ! C’était un orgasme incroyable. Comment te sens-tu ? »

Son pénis en cage était maintenant à quelques centimètres de sa chatte dégoulinante. Il ne se souciait plus d’avoir l’air cool, il était plus qu’excité. « S’il te plaît. Je ne peux pas le supporter. Je n’ai jamais été aussi désespéré. Peux-tu demander à Albane la clé, s’il te plaît ? »

« Oh, pauvre chose. Tu pensais faire l’expérience de la vraie chasteté en la verrouillant, en regardant du porno et en lisant des histoires cochonnes pendant quelques heures. C’est différent quand il a une fille excitée et consentante est devant toi, n’est-ce pas ? »

Elle tendit la main pour caresser ses boules gonflées avant de saisir le tube de la cage et de l’introduire en elle. « Tu es dans ma chatte, et pourtant si loin… C’est drôle comme la cage de chasteté est. Et bien, elle te garde chaste ! » Elle riait. « Tu m’as léché comme jamais… Mais on ne peut pas réveiller Albane et Lucie juste pour un petit orgasme, n’est-ce pas ? Ça ne serait pas vraiment sympa pour elles ? »

Elle le retira puis s’est enduit les doigts de son jus avant de les placer dans la bouche de Gabriel. « Goûte encore mon orgasme. C’était probablement assez de plaisir pour nous deux ce soir, tu ne crois pas ? »

Gabriel s’est empressé de lui lécher les doigts. Il savait qu’il allait être difficile d’accepter d’être chaste pour elle. Une partie de lui avait honte qu’il ait déjà supplié d’être libéré dès leur première nuit. Il allait devoir apprendre à faire face à ce niveau d’excitation. Mais peu importe à quel point il était frustré, quand même content de la tournure des événements. Il avait besoin qu’elle le sache.

« Je suis content que tu sois ici avec moi et que j’aie pu te faire jouir avec ma langue. Honnêtement, tant que tu es ici avec moi, je suis heureux. », lui dit-il avant de lui donner un baiser passionné.

Célia l’embrassa en retour avec enthousiasme. Elle venait de recevoir un orgasme incroyable et Gabriel était tout à fait d’accord pour ne rien recevoir en retour. Jusqu’à ce moment, elle ne s’était pas sûre de révéler ce que Albane lui avait glissé avant qu’ils aillent se coucher.

« Quand j’ai emprunté ce pyjama à Albane, elle m’a peut-être donné autre chose. » Célia attrapa son short et en sortit la clé de la poche. « Je ne voulais pas te le dire plus tôt et influencer ton jugement quant à l’acceptation des termes concernant la chasteté qui régit notre nouvelle relation. Mais, je pense que tu l’as mérité ce soir. »

Elle le guida sur le dos et lui chevaucha les jambes.

« Ne crois pas que tu vas forcément jouir chaque fois que tu me lécheras. Je n’ai pas du tout envie que tu te fasses de fausses idées, OK ? Maintenant, je vais enlever ça. »

Elle déverrouilla la cage et Gabriel a rapidement enlevé la cage et l’anneau. Célia n’avait jamais vu un pénis grossir aussi vite, mais ce qui la surprit le plus était la taille.

« Oh purée, Gabriel ! Je croyais que tu te vantais quand tu disais qu’elle était grosse ! Comment ta queue rentre-t-elle dans cette petite cage ? Maintenant, je me sens mal de savoir que je vais la garder à l’étroit dans cette petite prison presque tout le temps. Enfin, je me sens presque mal… » Elle a ri.

Elle attrapa la base de son sexe et avala tout son membre. Gabriel haleta à l’intensité après avoir été refusé toute la nuit. Tout son univers était centré sur les sensations qu’elle lui procurait.

« Clame-toi, mon petit garçon chaste. Crois-moi, tu veux que ça dure, car qui sait combien de temps il te faudra attendre jusqu’à la prochaine fois ? », lui dit-elle alors qu’elle commença à enrouler lentement sa langue sur son gland turgescent.

Elle n’avait jamais senti une telle bite pousser si fort dans sa bouche avant et sachant à quel point Gabriel était désespéré, elle se sentait si puissante. Donner une pipe avait toujours été pour elle comme un acte de soumission avant, mais là elle avait le contrôle total. Elle remonta lentement sa langue sous le dessous de sa queue avant de s’attarder sur son frein tout en lui massant les boules ce qui le fit gémir de façon incontrôlable.

Elle essaya de faire de durer la fellation aussi longtemps que possible, mais il semblait que peu importe le rythme qu’elle adopta, son orgasme approchait rapidement. Après seulement quelques minutes, elle a senti le signal, mais elle a été totalement prise au dépourvu par l’intensité.

Il y avait tellement de sperme, mais elle n’en perdit pas une goutte. Elle savait que les mecs aiment bien quand elle avale et elle voulait que ce soit aussi bon que possible. Elle lui donna quelques derniers coups de langue avant de le sortir de sa bouche, puis elle se coucha à ses côtés. Toute cette accumulation et ces taquineries lui avaient permis d’atteindre le meilleur orgasme de sa vie. Après quelques minutes de récupération, elle brisa le silence.

— C’était vraiment merveilleux, Gabriel, et j’ai hâte d’être à la prochaine fois. Mais il est temps maintenant.

Elle s’est assise au bord du lit et a saisi la cage de chasteté. Gabriel savait que ce moment viendrait.

Il commença à rechigner, elle l’interrompit.

— Ça suffit, poussin. Je t’avais dit que tu ne serais déverrouillé que lorsqu’on fera l’amour. C’est ce qu’on a fait. Maintenant, montre-moi comment la remettre, dit-elle en lui souriant tendrement.

Sa bite était flasque maintenant, et il serait facile de réinstaller la cage. Gabriel lui expliqua et elle s’exécuta en passant une première couille dans l’anneau, puis la seconde et enfin elle faufila son pénis à travers l’anneau.

Célia attrapa le tube : « et maintenant, on glisse ta queue là-dedans », dit-elle en joignant le geste à la parole. Le pénis qui était dans sa bouche il y a quelques minutes était maintenant derrière les barreaux. Le dispositif entier pouvait tenir dans la paume de sa main.

— Je n’arrive toujours pas à croire qu’elle rentre vraiment là-dedans, dit-elle en saisissant la clé et le verrou. « Je pense que ce sera ma partie préférée. »

Clic

Le sourire le plus chaleureux est apparu sur son visage. Elle tira sur la cage pour s’assurer qu’elle était bien verrouillée.

— C’est la première fois que j’enferme une bite dans la chasteté, mais certainement pas la dernière !

Elle embrassa Gabriel une dernière fois, et épuisés, ils se sont couchés pour dormir. Il l’a prise dans ses bras et elle se retourna intentionnellement pour que la cage soit pressée contre ses fesses. Même s’il venait de jouir, elle pouvait sentir qu’il recommençait à être excité. Il respira l’odeur de ses cheveux et l’enlaça plus fermement. Il était verrouillé dans la chasteté, et ce serait difficile, mais Célia était désormais sa petite-amie et sa keyholder. C’était sa nouvelle réalité, et il ne pouvait pas être plus heureux.

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