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Le cadeau de mon 18e anniversaire


De tous mes amis, comme je suis né en décembre, mon anniversaire est le dernier de l’année. Tout le monde y compris ma petite amie avait déjà 18 ans. Comme cadeau d’anniversaire, mes parents allaient m’emmener faire un voyage en Amérique. C’était vraiment sympa, mais ça voulait dire que je ne passerais pas mon anniversaire seul avec ma copine. Heureusement, nous passerons le Nouvel An ensemble, que tous les deux. Je n’avais plus que trois semaines à attendre.

J’ai fait une fête la veille de notre départ pour l’Amérique, quelques jours avant mes 18 ans, c’était vraiment génial. Ma copine me taquinait tout le temps, mais d’une manière qui n’était pas évidente pour tout le monde et m’a donné 2 cadeaux. L’un était des billets pour un concert auquel je rêvais d’aller et l’autre était un paquet qu’elle m’a dit d’ouvrir quand je serais seul pour le déballer, et au plus tôt ce serait dans ma chambre d’hôtel à Montréal. J’étais sacrément curieux, mais j’ai promis d’attendre et elle n’a rien voulu me dire.

Le jour venu, tôt le matin, dans un hôtel à Montréal, dans ma propre chambre, je me suis assuré que la porte était verrouillée et j’ai pris le paquet de Manon. J’étais si curieux et impatient que je n’ai même pas pris soin de ma gaule matinale comme à mon habitude et je l’ai laissée retomber toute seule. À l’intérieur, il y avait une boite en l’ouvrant j’ai vu des papiers avec des instructions, et sous cela, des petites choses dont j’ignorais la nature, bien rangée dans leur compartiment identifié. Il y avait donc des anneaux métalliques de différentes tailles, une sorte de tube qui ressemblait à une cage et deux cylindres de verrouillage appelés “test lock” et “locking lock”. J’étais assez confus, mais j’ai commencé à lire les instructions. J’étais surpris, c’était une sorte de jouet sexuel. Ma petite amie m’avait offert un jouet sexuel, je ne pouvais pas être plus heureux et excité.

J’ai suivi les instructions concernant la taille et la façon de la mettre. Et j’ai utilisé le “test lock” pour connecter l’anneau qui entourait ma bite et mes couilles derrière mon sac et le tube de la cage qui serrait mon pénis à une taille un peu inférieure à ma taille normale au repos. Mettre cette partie de la cage était un défi, car je commençais à durcir par l’excitation et je ne voulais pas me branler. Je veux dire que je voulais faire bon usage du jouet qui me donnerait sûrement beaucoup de plaisir. Donc, après avoir déterminé la bonne taille, d’anneau et testé le confort du jouet pendant un moment, j’ai changé le cylindre de verrouillage par le “locking lock”. Celui-ci avait un trou pour insérer une clé. Lorsque j’ai introduit le verrou, il a tourné de 40 degrés dans le sens inverse des aiguilles d’une montre et j’ai entendu un petit déclic. Je l’ai regardé en essayant de comprendre comment elle me ferait jouir, surtout que je ne pouvais pas bander dedans. La cage maintenait mon pénis juste en dessous de sa taille normale. Et quand j’ai réalisé que je portais un sex toy pour la première fois de la vie, j’ai senti à quel point ma bite était serrée dedans.

Je me suis caressé à travers les barreaux, mais j’étais encore plus frustré. Je me suis dit que c’était peut-être la façon dont cela intensifiait la sensation lorsque je jouirai ? Avoir tout ça si incroyablement serré doit être incroyable quand je jouis. J’ai donc essayé de me branler, mais il était clair que ce jouet ne me laisserait pas venir, du moins pas comme ça. Il n’y avait aucun moyen que je puisse obtenir une quelconque satisfaction tout en le portant. Je me suis demandé si je pouvais l’enlever sans le déverrouiller, mais c’était impossible. Ouais, c’était ça, son cadeau était une farce pour me donner de l’espoir. Ce n’était pas la première fois qu’elle me faisait une blague, mais bien la première fois qu’il s’agissait de quelque chose de sexuel. Eh bien, je pouvais vivre avec ça, mais il était temps de l’enlever et de faire attention à mon excitation. Je suis allé voir le paquet et j’ai cherché la clé. Elle n’y était pas ! Mais bon sang, elle n’a pas vérifié le jouet avant de me le donner ?

Je savais qu’il était inutile d’essayer de l’appeler, vu l’heure elle était en cours. Peu importe, la cage n’était pas inconfortable, et surtout, quand je me suis habillé, elle n’était pas visible, alors je me suis dit que je l’appellerais plus tard à ce sujet. Je n’avais tout simplement pas réalisé ce que le fait de porter cette chose allait me faire. Sans mon soulagement du matin, je devenais de plus en plus excité et chaque jolie fille que je croisais me rendait inconfortablement conscient de ma situation difficile, ma bite tendue dans sa cruelle et petite prison. Je ne pouvais pas m’empêcher d’avoir des pensées très sexy et je ne pouvais plus attendre pour appeler Manon… Et puis, j’ai réalisé que même si elle m’envoyait la clé, en changeant de ville très souvent au cours de ce voyage il ne serait pas possible de me livrer la clé. Je devrais continuer à porter cet appareil infernal jusqu’à ce que je rentre chez moi et que je puisse la retrouver…

Il m’était impossible d’oublier que je portais cette cage, à chaque fois que ma bite essayait de bander, l’érection était réprimée par cette impitoyable cage. C’était une pure torture, mais une expérience intéressante, quelque chose de sexuel se passait et personne ne le savait. J’avais un jouet sur moi et il semblait que ma copine avait la clé. L’idée m’a presque rendu fou.

Comme elle était par ailleurs assez confortable, la seule véritable irritation était que je devais m’asseoir pour pisser. Aussi, j’ai eu une petite panique quand j’ai vu un détecteur de métaux pour la première fois ce jour-là… Je n’avais pas d’autre choix que de le franchir, heureusement il ne s’est pas déclenché. J’étais pour le moins soulagé.

Une fois rentré dans ma chambre d’hôtel, je me suis souvenu que nous nous envolerons pour Toronto dans la soirée. Après l’expérience de cette journée, je n’étais pas tellement inquiet au sujet des portiques de sécurité à l’aéroport. Cependant, dans l’hôtel où nous devions séjourner à Toronto il y aurait une piscine et je comptais bien en profiter. Ce ne serait pas possible si ça se voyait à travers mon maillot de bain. Eh bien, je devais m’en assurer au préalable. Je me suis déshabillé, j’ai revu ma bite encagée, essayant désespérément de gonfler à travers les barreaux. Putain, ce foutu truc était frustrant… J’ai enfilé mon maillot de bain et j’étais content, celui-ci était assez ample et la cage ne se devinait pas… Mais ne se verrait-elle pas si mon maillot était mouillé ? J’ai sauté sous la douche. Finalement, le tissu du maillot étant assez épais, la cage formait juste un renflement assez flatteur. J’ai pris une douche rapide en essayant de me branler, mais je n’ai pas pu jouir.

Après ma douche, j’ai appelé Manon.

« Salut, chéri ! Comment s’est passée ta journée ? Qu’est-ce que tu as vu ? »

« Salut, bébé ! C’était vraiment bien, écoute je… »

« Dis-moi tout, je veux savoir ! Es-tu allé à ce musée où tu voulais tant aller ? »

Nous avons parlé pendant une demi-heure de ma journée et de la sienne, elle a continué à orienter la conversation. Finalement, elle a demandé :

« Alors… je meurs d’envie de savoir, j’étais nerveuse toute la journée de savoir ce que tu en pensais… Tu as vu mon cadeau ? »

« Ouais… », elle m’a interrompu avant que je ne puisse en dire plus, elle semblait vraiment excitée et nerveuse.

« Qu’est-ce que tu en penses ? Je sais que c’est un peu farfelu… mais tellement coquin… Tu l’as essayé ? Est-ce qu’elle te va ? »

« Eh bien, je ne sais pas ce que c’est… J’ai jeté un coup d’œil, je l’ai mise, mais… oui, elle me va, mais il n’y a tout simplement pas de place pour bander ! Comment ce jouet est-il censé me faire jouir ? »

« Haha, espèce d’idiot ! C’est censé t’empêcher de jouir ! Vois ça comme un jeu… d’attente… Oh ! Je ferais mieux de te montrer ce que je veux dire ! Tu peux la mettre maintenant ? S’il te plaît… Tu vas aimer, je te le promets ! »

« Je… Je l’ai déjà mise. »

« Oh ? Depuis combien de temps ? »

« Depuis ce matin, j’étais si curieux de savoir ce que tu m’avais donné que le déballer et l’essayer est la première chose que j’ai fait… Je… Eh, bien… Je n’ai même pas pris soin de mes besoins… matinaux… »

« Quoi ? Tu veux dire que tu la portes depuis ce matin ? Tu n’as même pas… Tu ne t’es pas encore branlé aujourd’hui ? »

« Non, bébé, et ça me rend dingue ! »

« Eh bien, ça va accélérer les choses, tu dois être vraiment excitée, là ? Toutes les filles que tu as vues aujourd’hui… C’était serré là-dedans ? »

« Tu ne peux pas imaginer… tout le temps… Je la sentais tout le temps… j’ai juste essayé de jouir sous la douche, mais c’est impossible avec ce truc… Pourquoi m’offrirais-tu cet appareil de torture, bébé ? »

« Tu vas voir, mon chéri ! Il semble que tu sois à peu près assez excité… Mes parents ne sont pas à la maison, donc je pense que je vais me déshabiller, peut-être que tu pourrais faire de même… ? Oh, j’aimerais que tu puisses me voir maintenant… Tu sais quoi ? Attends une seconde ! » Au bout d’un moment, j’ai reçu un message sur mon téléphone. C’était une photo d’elle, ma belle petite amie rousse, totalement nue. C’était la première fois que je la voyais nue, mais elle a pris une pose dans laquelle elle a gardé tout ce que je voulais voir le plus… caché. « Tu l’as vue ? De quoi ai-je l’air ? »

« Oh, purée, bébé, tu es incroyable ! Est-ce que je pourrais te voir sans que tu ne te couvres ? » Ma queue et mes boules me faisaient mal maintenant et je perdais la tête.

« Non, gros bêta ! C’est juste assez pour que tu t’amuses à me regarder, mais pour vraiment me voir nue et me toucher et jouer avec tout ce que tu veux, tu dois attendre qu’on se voie. La première fois que tu verras tout ça, ce ne sera pas sur une photo, ce sera de tes propres yeux, chéri ! Ok, maintenant… enlève ce jouet et on va se faire plaisir… »

« C’est de ça que je voulais te parler… Je ne peux pas l’enlever… Il n’y a pas de clé… »

« Quoi ? Vraiment ? Oh putain, chéri ! Merci beaucoup ! J’étais si inquiète de ce que tu penserais… Merci, merci, merci, merci ! Je vais faire en sorte que l’attente en vaille la peine, je te le promets ! On va tellement s’amuser ensemble au Nouvel An ! »

« Bébé… je… je… je ne savais pas qu’il n’y avait pas de clé… »

« Quoi ? ! Mais tu as vu les deux cylindres ? »

« Ouais… au début j’ai utilisé le testeur pendant que je vérifiais l’ajustement, mais ensuite j’ai pensé que je pourrais essayer le vrai, me donner du plaisir avec le jouet et l’enlever… Mais je suis coincé ! Attends… Tu as pris la clé de la boîte exprès ? »

« Je suis vraiment désolée, ce n’est pas comme ça que je voulais que ça se passe… Je pensais que tu comprendrais quel était le but de cette cage, pour t’empêcher de jouir et te faire attendre jusqu’à ce qu’on puisse le faire ensemble, je pensais que quand tu verrais qu’il n’y avait pas de clé… si tu étais d’accord avec ça, peut-être tu aurais aimé l’idée ou si tu voulais juste le faire pour moi, tu utiliserais le vrai cylindre de fermeture… Je suis désolée, chéri… »

« Oh putain… Je perds déjà la boule, et il reste plus de deux semaines avant le Nouvel An… »

« Je suis désolée, s’il te plaît, ne sois pas fâché contre moi… »

« Je ne suis pas fâché contre toi, bébé, j’étais juste tellement excité de recevoir un sex toy de toi que je ne pouvais pas attendre pour l’utiliser et je n’ai pas cherché la clé avant de la mettre… J’aurais juste aimé comprendre ce que le jouet était censé faire… Je pense que je la mettrais encore si tu me le demandais… »

« Tu es sérieux ? »

« Ouais… J’ai l’impression que tu veux tellement essayer ça. Je veux dire que je traverse un enfer en ce moment et ça ne fera qu’empirer, mais… Je sais pas, si tu me promets que ça en vaille la peine… Disons que si tu ne tiens pas ta promesse, j’ai un laissez-passer pour faire ce que je veux, qu’est-ce que tu en penses, bébé ? »

« Oh, tu vas te régaler, chéri ! Je serai ta parfaite petite salope ! Encore une fois, je suis vraiment désolée que ça ait été une si mauvaise surprise pour toi, avec la clé et tout… Une autre chose que je dois me faire pardonner, je suppose ? Euh, tu sais quoi ? Je ne peux pas remonter le temps ou faire quoi que ce soit pour te déverrouiller, alors peut-être que je serai une mauvaise fille et… que je devrais en faire plus pour me racheter ! »

« Qu’est ce que tu veux dire bébé ? »

« Je veux dire que je ne suis enfermé dans rien… et… je suis nue… et excitée… Peut-être, juste peut-être que je caresse mes beaux seins ? Hmm, ça fait vraiment du bien, tu n’aimerais pas voir ça ? Je parie que tu le veux, chéri ! Oh, tu t’amuserais tellement à m’écouter si ta bite n’était pas enfermée… Tu me dirais tout ce que tu ferais, n’est-ce pas ? Tout comme je… je me pince le téton, ça fait un peu mal, mais j’ai été une si vilaine fille après tout, tu devrais me punir toi-même, chéri ! Oh, j’ai besoin de mes deux mains, je te mets sur un haut-parleur… »

J’ai entendu un bruit, car elle a dû poser le téléphone par terre.

« Humm, une main pince mon téton et l’autre se déplace lentement sur mon corps, de mon cou, à mes seins, une douce caresse sur le ventre, puis un peu plus bas… ohh, c’est tellement bon ! Hum, j’aimerais que tu sois là pour me faire ça… J’aimerais pouvoir jouer avec toi, avec mes mains, avec mes lèvres, avec ma langue… tu aimerais ça… je prendrais ta bite très fort dans ma main et je la lécherais lentement et je l’embrasserais partout… tu serais si dur et gros que tu penserais qu’elle va exploser et pendant ce temps je masserais doucement tes grosses couilles pleines de foutre avec mon autre main… Je te ferais palpiter comme un tremblement de terre et puis… puis… je… m’allongerais tenant toujours ta bite à la base très fort pour la faire entrer en moi… et… alors… Oh ! Oui, chéri, c’est bon… ! »

Après cela, je n’ai entendu que ses cris de plaisir. Ma bite et mes couilles souffraient… elles étaient en feu… Je suis tombé à genoux, d’une main je tenais mon téléphone, de l’autre j’essayais de me branler… En vain… Je me sentais si excité et désespéré que tout mon corps était chaud, mon esprit s’emballait…

« Oh, chéri ! C’était amusant ! Ça faisait longtemps que je ne m’étais pas sentie aussi bien… Je suis vraiment fatiguée… Comment vas-tu ? »

« Tu es diabolique… Ça fait mal, c’est tout… Tu ferais mieux de le faire vraiment… Vraiment ! T’as intérêt à ce que ça en vaille le coup ! »

« Si frustrée que ça ? Je te promets que je me rattraperai, je serai vraiment ton jouet, la meilleure salope dont tu puisses rêver ! »

« J’espère bien… En ce moment, j’ai peur que toute cette histoire me rende fou et que je porte une camisole de force quand on se retrouvera ! »

« Tu n’as pas intérêt ! Ou je pourrais devenir une fille vraiment maléfique si tu ne peux pas me faire payer pour ça ! Oh merde, ils ont un bon timing ! »

« Qu’est-ce qu’il y a ? »

« J’ai entendu mes parents rentrer, heureusement, je suis déjà venue… Je ne peux pas imaginer ce que ce serait de ne pas pouvoir jouir en ce moment, n’est-ce pas chéri ? »

« Va te faire foutre, bébé ! »

« Haha ! Ok, je dois me coucher maintenant, appelle-moi demain, ok ? »

« Bien sûr bébé ! »

« Bye chéri, encore une fois joyeux anniversaire et amuse-toi bien avec ton cadeau ! »

Merde, cette meuf va me rendre dingue… C’était plutôt chaud quand même… !

Le même jour, dans la soirée, nous nous sommes rendus à Toronto. J’ai eu un peu peur à l’aéroport, car au passage de la sécurité on m’a conduit dans une zone de contrôle. Dans la cabine, j’ai dit au personnel de sécurité que je portais un bijou intime, on m’a contrôlé avec un appareil portable et on m’a palpé à nouveau. L’agent m’a demandé de baisser la ceinture de pantalon et de mon boxer juste assez pour en révéler la partie supérieure. Après avoir conclu que je n’étais pas une menace, le contrôleur qui s’était monté sympathique pendant le processus m’a relâché. Heureusement, mes parents étaient loin à ce moment-là et je leur ai juste dit que c’était une erreur. Ils n’ont pas cherché à en savoir plus, car nous étions pressés et, après tout, j’ai été relâchée sans problème.

À l’hôtel, après nous êtes installés dans nos chambres, ils ont voulu faire une promenade. Je leur ai dit que je voulais me reposer et ensuite profiter de la piscine de l’hôtel. Ils y sont allés ensemble, je suis allé nager au bout d’un moment.

Quand je suis arrivé à la piscine, j’étais seul, ce qui était une bonne surprise. Bien que la cage soit invisible sous mon maillot de bain, il faut mieux prévenir que guérir. Une autre surprise bienvenue était que la cage n’était pas inconfortable pendant la baignade. Le temps passait, j’ai fait quelques longueurs et puis j’ai vu une fille, d’environ mon âge, brune très attirante, entrer et s’asseoir dans l’un des deux jacuzzis. Cela m’a rappelé instantanément le jouet qui était verrouillé sur ma bite. J’ai continué à nager et j’ai remarqué qu’elle me regardait. Quand je me suis reposé au bord de la piscine, elle s’est penchée vers moi. Elle s’est présentée et nous avons commencé à parler.

Elle s’appelait Anna, elle était originaire d’Europe de l’Est, également en voyage avec sa famille. Elle flirtait avec moi, c’était tellement évident que même moi je ne pouvais pas le rater, j’ai apprécié l’attention tout en essayant de cacher la gêne causée par les tentatives d’érection. Cependant, j’étais content de ne pas pouvoir bander, sinon cela aurait pu être un peu embarrassant. Bien sûr, je n’irais pas plus loin, j’avais une petite amie, mais c’était agréable de parler avec cette fille. Puis quelque chose s’est passé, elle a dit qu’elle voulait changer de place pour avoir la vue sur le bar. Elle s’est soulevée un peu et, dans le jacuzzi, elle est passée au-dessus de moi en frottant son cul contre mon corps et ma bite verrouillée. Elle s’est laissée glissée et atterrit lourdement de l’autre côté, sous le choc, les yeux grands ouverts me regardant… Je devais être tout rouge en la regardant, je ne savais pas quoi dire. Eh bien, elle savait…

« Oh, purée, je suis vraiment désolée ! Je ne savais pas ! Tu semblais aimer… Si je savais, je ne l’aurais pas fait ! Je suis vraiment désolée », s’exclama-t-elle.

« C’est… C’est bon… »

« Je ne savais pas… Je ne voulais pas te frustrer ou quoi que ce soit… » Anna semblait préoccupée.

« Ça va, vraiment. Je suis juste surpris… tu sembles savoir… désolé… ce que tu as ressenti… » Il était clair d’après ma voix que j’étais un peu gêné.

« Ouais… Je peux te demander quelque chose ? »

« Eh bien, vas-y. »

« Pourquoi ? C’est une sorte d’accident ou un problème médical ? »

Je la regardais sans savoir ce qu’elle voulait dire.

« Je suis désolée d’être aussi directe, mais tu dois savoir que ce n’est pas courant de rencontrer quelqu’un avec ce genre de prothèse… Je suis juste curieuse… »

« Ouah… Ce n’est pas… tout est là où ça devrait être ! » J’ai failli crier.

« Quoi ? ! Qu’est-ce que j’ai ressenti alors ? Aucune bite ne peut être aussi dure ! Je suis sûr que c’était en plastique ou du métal. »

« C’est… C’est un jouet… Je ne peux pas l’enlever, je ne voulais pas que quelqu’un le sache… »

« Un jouet ? C’est quoi ce bordel ? Est-ce que tu te branles en ce moment ? ! »

« Non ! Haha, en fait c’est impossible avec ça. »
Elle ressemblait à un mélange de chocs et d’extrême curiosité.

« Pourquoi tu la portes alors ? Tu vas te branler dans ta chambre de toute façon, non ? »
Je lui en ai parlé et lui ai expliqué comment je l’ai eu en cadeau et tout ça, elle a écouté, elle semblait très curieuse et je pense, excitée.

« Alors… ça ne te dérange pas si je fais ça ? » Elle a posé sa main sur ma bite en cage, j’étais prêt à fondre. « Tu ne peux pas en profiter de toute façon, donc ta meuf ne sera pas jalouse et je pense qu’elle sera contente que tu aies été taquiné… », ronronna-t-elle.

« Oh… putain… s’il te plaît… arrête ! »

« Pourquoi le ferais-je ? C’est marrant ! » Elle s’est placée face à moi et s’est penchée pour que j’aie une vue exceptionnelle sur ses seins.

« Je ne peux pas supporter ça… »

« Et qu’est-ce que tu vas faire ? » Elle ronronnait, souriait et riait doucement et gentiment.

« Merde ! » À ce moment-là, je tremblais, je me cambrais, j’avais l’impression que ma bite voulait s’envoler comme une fusée et la pression de la cage qui semblait vouloir m’arracher les couilles était insupportable.

« C’est vraiment amusant ! Il ne manque qu’une chose… Tu peux te lever ? »

Je l’ai fait. Elle a tiré mon maillot de bain vers le bas et je suis resté là sous le choc.

« C’est incroyable ! Tu es vraiment coincé là-dedans… » Elle souleva la cage avec son doigt. « Et tes couilles sont si gonflées et bleues… N’est-ce pas cruel ? »

« Putain ! »

« Et si ta copine ne te déverrouillait pas ? Ce serait dommage… tu es très beau et… vu comme tout est bien tassé là-dedans, je suppose que tu serais… impressionnant… sans cette cage infernale ! »
Je me suis juste assis, je n’en pouvais plus…

« Eh bien, comme tu ne vas pas aller dans ta chambre et te branler en pensant à moi… »

Elle laissa tomber le haut de son bikini. Puis, le ramassa en se penchant avant de plonger mon visage entre ses deux magnifiques seins.

« Il est temps que j’aille dans ma chambre, je penserai à toi… » Elle m’a fait un clin d’œil et m’a envoyé un baiser avant de se diriger vers les douches.

Plus tard, je l’ai croisée en retournant dans ma chambre. Elle m’a dit que même avec ma cage, elle aimerait m’inviter dans sa chambre. J’ai dû refuser, j’avais une petite amie. Elle a compris et m’a ronronné à l’oreille :

« Eh bien, alors je vais devoir m’amuser seule… » Et elle entra dans sa chambre en me souriant.

Quand je suis arrivé dans ma chambre, j’ai vérifié mon téléphone. Il y avait un message de ma copine. Une photo d’elle, assise sur son lit, nue, avec les jambes croisées juste assez pour obstruer la vue et ses mains couvrait ses seins entre lesquels… il y avait une clé accrochée en pendentif sur un collier. Je savais que c’était cette clé, celle dont j’avais besoin… Je me suis déshabillé et j’ai couru dans la douche, posant le téléphone sur une étagère. J’ai fait couler l’eau et j’ai juste regardé la photo et commencé à tirer sur la cage. C’était serré, tellement serré, que ma bite a occupé tout l’espace du tube et que mes boules devenaient plus foncées. J’ai senti que mon érection réprimée poussait le tube de la cage, faisant glisser l’anneau qui tirait et écrasait mes couilles. À ma grande surprise, cela m’a excité encore plus et voir cette photo tout le temps était une torture.

La seule chose à laquelle je pouvais penser était de jouir en elle après l’avoir baisé. Je ne pensais pas à lui faire l’amour, à jouer avec elle, juste… juste à la baiser brutalement, sauvagement, même violemment, la tenant fermement et la pilonnant comme un fou, comme un fou furieux ! Puis je me suis effondré. Je me suis assis dans la douche, ma bite en cage sautillant de haut en bas, tressaillant, palpitant dans la cage serrée et je regardais juste la photo les yeux grands ouverts, la bouche bée, mon corps se cambrait, tremblait et mon cœur battait la chamade…

Elle m’avait brisé… fait de moi rien de plus qu’un libidineux en manque de sexe…

Il m’a fallu une trentaine de minutes pour me ressaisir et prendre une douche, tout en regardant la photo, bien sûr. J’ai pris une douche froide, ça m’a aidé avec la tension dans la cage et la sensation d’oppression dans mes couilles, mais ça n’a pas aidé du tout avec mon désespoir.

Après être sorti de la douche, je me suis forcé à fermer la photo et à essayer de m’endormir, mais je n’y arrivais pas. Et même lorsque je parvenais à m’endormir, la tension dans la cage me réveillait. Je crois que j’ai dû dormi environ une heure le matin, mais je me suis réveillé dans la douleur… Je me suis précipité pour prendre une douche froide et après une quinzaine de minutes, cela à calmer le gonflement permanent dans ma cage et avec la pression sur les couilles. Quand je suis retourné dans ma chambre, il y avait un message de ma copine :

« Tu as aimé ma photo ? Tu peux m’appeler ? »

Je l’ai fait.

« Salut Chéri ! Ça va ? Tu as aimé ? »

« J’ai adoré ! Mais… je pense… je ne sais pas… » J’entends ses doux gémissements.

« Tu es… frustré ? » Je pourrais jurer qu’elle souriait.

« À un point, tu ne peux pas imaginer ! J’ai peut-être dormi une heure cette nuit et je me suis réveillé en souffrant. J’ai passé 15 minutes sous une douche froide pour faire que les choses soient… un peu gérables… »

« Ça va si mal ? »

« Bébé… c’est l’enfer, je n’arrive pas à penser clairement, tout ce que j’ai en tête c’est le sexe et jouir et… pas comme je l’ai toujours imaginé… »

« Qu’est-ce que tu veux dire ? »

Je lui ai parlé de l’épisode de la douche d’hier soir. À chaque instant, je l’entendais gémir de plus en plus fort et je commençais à trembler et la cage me torturait à nouveau. Je lui ai aussi avoué ce qui s’était passé à la piscine, et à mon grand soulagement, elle a trouvé cela chaud, drôle et inoffensif, car je n’ai pas touché cette fille, et tout comme cette fille avait dit, elle aimait que je sois taquiné.

« Ooh, chéri, je ne savais pas que ce serait si mauvais pour toi… je suis vraiment désolée… je suis une si mauvaise petite copine et… ahhh… hum… tu… ahh… tu sais… tu dois… Oh oui ! Aah… ! Me punir… dur ! Chéri ! »

« Arrêtes ! »

« Q… Quoi ? »

« Stop ! Si j’attends, toi aussi ! »

« Tu es sérieux ? Tu veux vraiment que je ne vienne pas avant qu’on se retrouve ? » Elle gémissait, son souffle était lourd.

« Ouais… Je veux que tu sois plus que prête pour moi, je veux que tu ne te touches pas du tout, que tu attendes que je… te caresse… que je joue avec toi… »

« Je vais essayer… mais ce sera difficile, je te promets rien. Tu sais, je ne suis pas… enfin, je n’ai pas de petit jouet sexy pour m’aider à rester… en sécurité comme toi. Je peux finir maintenant ? S’il te plaît chéri ? »

« Non, pas moyen ! »

« Mais je suis si proche ! »

« Eh bien, tu peux avoir un avant-goût de ce que je ressens. »

« Et puis merde ! Tu me puniras plus tard ! »

Ce que j’ai entendu après ça restera à jamais gravé dans mon esprit… Ses gémissements, ses halètements, ses cris de plaisir fous… C’était chaud, sexy, insupportable… Et après avoir entendu son orgasme… vraiment très très intense…

« Bébé, s’il te plaît, je ne peux plus supporter ça… Encore un autre petit numéro comme ça et je vais finir chez les fous… Tu m’as envoyé de si belles photos et je ne peux pas en profiter c’est une torture… c’est cruel… »

« Je suis désolée, je ne peux m’en empêcher, tu m’as tellement excitée et depuis que tu m’as dit que tu t’étais verrouillé, je me sens tellement sexy… Je suis vraiment désolée, mais je ne pense pas pouvoir me contrôler pour ne pas te taquiner davantage… Mais je te promets vraiment que je vais me rattraper ! Je te le jure, chéri ! Et tu pourra me punir comme tu le veux ! Je souhaite juste… J’aimerais me trouver quelque chose pour m’empêcher de faire des choses vilaines… Ce serait vraiment sexy et… romantique… Si nous devions attendre tous les deux… Je suis vraiment désolée… J’aurais au moins dû laisser une lettre avec des explications avec le cadeau ! »

« C’est juste que c’est vraiment dur pour moi, ça me fait perdre la tête… Tu aimes vraiment ça ? »

« Oui. »

« Eh bien, je pense que j’ai la pire idée de ma vie… mais si tu me promets de faire en sorte que ça en vaille la peine… »

« Chéri ? »

« Je ne peux pas m’amuser comme ça maintenant, mais… eh bien… tu as, je pense, l’occasion parfaite de réaliser ton énorme fantasme… ce serait dommage de la gâcher… » Je savais que je me condamnais, je ne pouvais pas croire que je disais ça.

« Tu es sûr ? »

« Ouais ! » J’étais sûr que je ne voulais pas ça, mais si au moins elle pouvait s’amuser avec ça. J’espérais que je serais récompensé pour ce sacrifice.

« Merci ! Oh… tu es le meilleur ! Et… Oh mon pauvre garçon si tu savais dans quoi tu t’es embarqué ! Je t’aime ! Je vais te faire une petite vidéo ! Je te l’enverrai plus tard. »

Après, nous avons juste parlé de choses normales, même si cela exigeait beaucoup de self-control de ma part.

Plus tard, je me suis préparé pour faire du tourisme. Le reste du voyage était plutôt calme. Ce qui ne veut pas dire que c’était devenu plus facile pour moi, bien au contraire. J’ai reçu une tonne de photos sexy de ma copine. Chaque coup de téléphone avec elle était surtout des paroles cochonnes et l’entendre se faire plaisir à mes dépens… C’était difficile, c’était mauvais, je m’inquiétais de mon état mental, même se promener et agir normalement me demandait beaucoup. C’était une véritable torture, une vraie, pas un jeu… Je ne savais pas qu’on pouvait faire quelque chose d’aussi… mal… mal… à un homme.

Mais ma copine a promis de faire en sorte que ça en vaille la peine.

Chaque fois que j’allais nager ou simplement marcher dans la rue et que je voyais toutes ces filles… je regrettais presque d’avoir une bite et des couilles…

Dès que je le pouvais, je prenais une douche froide, me gardant à peine sain d’esprit…

Nous sommes finalement rentrés en France le 27 décembre et le lendemain, j’étais censé la retrouver enfin. J’ai alors réalisé à quel point elle me manquait, je veux dire que même si nous avons parlé au téléphone et de toutes les choses qui se sont passées, elle me manquait vraiment et je ne l’ai pas remarqué avant d’être rentré chez moi.

Nous nous sommes finalement retrouvés en début le lendemain en début d’après-midi chez moi. Je ne pouvais pas être plus heureux ! Nous avons passé du temps à parler, à nous embrasser, à essayer désespérément de ne pas rendre ça sexuel, juste à traîner en couple. Nous étions en plein milieu d’un film quand mon père m’a appelé pour me dire que ma mère et lui partaient chez des amis et qu’ils rentreraient tard.

Quand j’ai fermé la porte derrière eux, j’ai couru aussi vite que j’ai pu pour retourner dans ma chambre. Un grand sourire sur mon visage, je lui ai sauté dessus, je l’ai embrassée passionnément, les bras autour d’elle, une de mes mains dans ses cheveux, l’autre caressant son dos, allant de plus en plus bas jusqu’à ses fesses… Elle haleta… J’ai serré son cul… Elle a mis ses deux mains derrière ma tête en me poussant vers elle… J’ai pensé que cette fois ma bite allait être libérée de cette cage métallique, dont je me rendais compte maintenant que je la pressais contre son entrejambe. Nous caressions mutuellement là-bas en faisant de doux mouvements lents… Merde, cette fois ma cage lui donnait physiquement du plaisir !

« Bébé, je te veux tellement… »

« Je te veux aussi ! Je suis tellement désolée pour cette stupide cage ! »

« Déverrouille-moi… Je dois t’avoir maintenant… »

« Je… je… je ne… la clé… est… chez moi ! Je suis désolé, je ne savais pas que nous allions être seuls ! Je te veux aussi ! Je veux juste que tu sois en moi aussi, je veux soulager toute cette tension, toute ta frustration ! Je veux être une bonne fille pour toi ! J’ai promis ! » Il y avait des larmes aux coins des yeux, elle avait vraiment laissé la clé chez elle et elle était vraiment désolée.

Je n’arrivais pas à y croire ! Merde ! Putain de merde ! Elle était ici avec moi, prête, désireuse, mais cette maudite cage était toujours verrouillée sur moi et il n’y avait aucun moyen de l’enlever…

« Je suis tellement désolée », et à ce moment-là, j’ai vu un changement en elle. « Bébé, nous avons décidé que notre première fois serait au Nouvel An… Cependant, je pense que tu peux toujours t’amuser avec moi maintenant. En fait, ne pas avoir la clé avec moi pourrait être une bonne chose.

« Qu’est-ce que tu veux dire ? »

« Eh bien, je dois préparer certaines choses pour cette soirée. En plus…, si je te déverrouillais maintenant, tu te servirais de moi et ce serait vite fait, on s’amuserait beaucoup, mais ce serait fini très bientôt… Maintenant… tu peux prendre un moment à explorer mon corps… sans fin en vue ! Oh… nous allons nous amuser maintenant ! » Elle sourit.

J’étais stupéfait et puis elle est descendue du lit. Elle a cherché quelque chose sur Spotify et… je ne pouvais pas le croire ! Elle faisait un strip-tease pour moi ! Elle portait une robe bleue, courte, elle s’est mise à danser lentement pour moi, se caressant, passant ses mains sur son corps, serrant ses seins, gros, pas énormes, mais gros et fermes. Elle se penchait vers moi pour que je regarde bien ses seins et se détournait de moi pour que je puisse voir son cul rond dans la robe moulante, qu’elle a soulevé et j’ai vu sa lingerie rouge, puis elle s’est tournée vers moi, la matière recouvrait à peine sa petite chatte épilée… Puis elle l’a recouverte de sa robe et a commencé à la glisser lentement de haut en bas, vraiment, vraiment lentement en découvrant ses magnifiques seins…

J’étais paralysé… La cage était comme un fer chaud qui marquait ma bite… J’avais vraiment mal et je ne pouvais pas bouger… Elle n’avait pas de soutien-gorge, ses tétons pointaient vers le haut, elle me souriait avidement… Elle a fait tombée sa robe à ses pieds et je n’en croyais pas mes yeux, sa silhouette… Aujourd’hui encore, j’ai du mal à croire que la nature puisse être si généreuse ! Elle était fine, mais pas mince, ses seins généreux gagnaient la lutte contre la gravité, ses longues jambes (pour sa taille) étaient si fines, les courbes, tout ! Ai-je vraiment eu cette chance ? J’ai crié de douleur en tenant ma cage ! Elle a ronronné et s’est agenouillée devant le lit, s’est mise à quatre pattes, en serrant ses seins avec ses bras en se penchant, elle a marché jusqu’au lit et a grimpé dessus…

« La cage est vraiment si douloureuse ? Est-ce que je te torture trop ? Eh bien, il n’y a rien qu’un petit bisou ne puisse arranger… »

Elle m’a embrassé puis a commencé à m’embrasser jusqu’en bas, m’a déshabillé…

« Ouah ! Chéri, c’est réellement serré et cette cage semble si petite pour toi ! Je suis une petite veinarde ! »

Puis elle a donné beaucoup de baisers à ma bite en cage… la léchée… l’a prise dans sa bouche en faisant tournoyer sa langue tout autour, en gardant une main sur ma jambe et l’autre massant doucement mes boules bouillonnantes, serrées et pleines… J’avais chaud, je transpirais, je tremblais, mon corps se cambrait à nouveau et je ressentais une douleur aiguë, un besoin écrasant auquel je ne pouvais rien faire… J’étais à l’agonie et j’ai vu que cela la rendait encore plus excitée… Il y avait une pensée à laquelle je m’accrochais tout le temps, elle m’a promis de faire en sorte que tout cela en vaille la peine…

Puis elle remonta, plaça ses seins juste devant mon visage et prit mes mains et les plaça sur ses seins… Je les ai massés, serrés, embrassés et léchés et j’ai doucement mordu les tétons, elle s’est mise à gémir… Elle a enlevé sa culotte et j’ai senti son humidité sur ma queue en cage… elle a commencé à faire glisser sa chatte sur la cage, je l’ai sentie à travers les barreaux et c’était trop… J’ai crié de frustration et à mon tour elle m’a poussé sur le lit et pendant que je criais encore, elle m’a tenu la tête et m’a embrassé profondément en jouissant sur ma cage ! J’ai entendu un déclic… Elle m’a fait rouler et je l’ai vue tenir son téléphone, elle me l’a montré et il y avait une photo de nous au moment où elle jouissait, moi qui criais pendant qu’elle m’embrassait en regardant droit dans l’appareil photo de son téléphone. Putain, c’était sexy !

« Merci, chéri ! Je n’ai jamais joui aussi fort, aussi intensément… et le faire avec toi… oh… merci… je pense… que tu es toujours d’humeur, non ? Eh bien, je ne t’arrêterai pas… »

Tremblant, je la pris dans mes bras et l’embrassai, je commençai à vénérer son corps, à le caresser partout, à l’embrasser et à le lécher, à faire tout ce que je voulais… Sauf que ma bite était toujours verrouillée et que tout mon corps était en feu, et que mes couilles ressemblaient à des balles prêtes à exploser… J’ai joué avec son corps pendant des heures et je l’ai fait jouir pour la deuxième fois avec ma bouche et la troisième fois avec ma cage… Après ce qui a semblé être une éternité, nous étions allongés dans le lit, moi derrière elle, la cage pressée entre ses fesses et mes mains qui la tenaient et jouaient encore doucement avec ses seins… Elle ne pouvait pas prendre plus de plaisir, alors nous avons fini de regarder le film couché comme ça. Autant je détestais la cage et j’étais à l’agonie, torturé par l’excitation et le besoin, autant je devais admettre qu’elle avait raison, j’ai vraiment eu l’occasion de prendre mon temps et d’explorer son corps, d’apprendre ses réactions… C’était l’agonie, mais c’était aussi sexy et amusant.

Quand il était temps de se quitter, je l’ai accompagnée à la gare et, alors qu’elle montait dans le train, elle s’est retournée vers moi m’a donné un baiser passionné et m’a mis un morceau de papier dans les mains. Je lui ai murmuré à l’oreille :

« Ne te touche pas, attends-moi cette fois… »

Quand le train est parti, j’ai vu comment certains gars me regardaient avec jalousie.

De retour à la maison, j’ai regardé le morceau de papier (je ne voulais pas prendre le risque de le regarder en public), il disait en grosses lettres :

« Ananas »

Et en dessous, en plus petit :

« Chéri, au Nouvel An, je suis ta propriété, peu importe si je dis “non”. Si quelque chose ne va pas, je dirai le mot ci-dessus, si je ne le dis pas, tu fais ce que tu veux ! Je t’aime ! »

Je ne pouvais pas le croire, je me suis effondré sur le sol, je ne pouvais pas supporter l’excitation, j’ai presque pleuré.

On ne s’est pas vus avant le 31 décembre, nous devions le passer chez moi. Elle est arrivée alors que mes parents étaient déjà partis, ils fêtaient le Nouvel An chez des amis et seraient absents pendant 3 jours. Quand elle a enlevé son manteau, j’ai failli m’évanouir. Elle portait de hautes bottes noires, des bas et une robe en latex très, très serrée et… un collier en cuir avec une courte laisse qui pendait entre ses seins couverts de latex…

« Chéri, pouvons-nous passer une bonne soirée avant de jouer ? »

« Je ne pourrai pas t’ignorer comme ça, bébé… Tu m’as déjà rendu fou ! »

« Je ne veux pas que tu ignores ça », elle passa ses seins sur son corps. « Je veux que tu attendes jusqu’à minuit, pour le Nouvel An. Tu peux me donner juste quatre heures de rendez-vous câlin ? Avant que tu… n’utilises ta propriété ? » Elle m’a souri et a cligné des yeux. « Juste quatre heures de plus de la dernière ébullition avec la luxure, une cerise sur le gâteau pour moi, s’il te plaît… »

J’étais vaincu…

Nous avons passé la soirée jusqu’à minuit à discuter, à être doux et câlins, à dîner et à regarder des épisodes de notre série préférée. Juste au moment où une scène de sexe commençait, l’horloge sonnait les douze coups de minuits et elle m’a souri…

« Que voulez-vous me faire, Maître ? J’ai été une bonne fille comme vous me l’avez demandé et je ne peux plus attendre », a-t-elle ronronné.

Je l’ai attrapé, j’ai empoigné son cul, je l’ai embrassée, j’ai joué avec ses seins… J’ai perdu tout contrôle, mes mains, ma bouche et ma langue étaient partout sur elle… Je ne pouvais plus penser ! En quelques secondes, nous étions tous les deux nus, à l’exception de ma cage, mais il m’a fallu presque une éternité pour pouvoir parler et demander à être déverrouillé.

« Voulez-vous que je vous donne la clé, Maître ? », murmura-t-elle.

Je n’ai pas eu à dire quoi que ce soit, elle s’est dirigée vers son sac à main. Quand elle est revenue, elle tenait une boîte en métal noir avec une serrure à code.

« Tenez, Maître, la clé est à l’intérieur, sortez-la et utilisez-moi ! »

« C’est quoi le code ? ! »

Elle m’a juste souri et s’est mise à quatre pattes sur le canapé, avec son cul parfait pointé vers moi, m’invitant…

« Dépêchez-vous ! Prenez la clé, libérez cette merveilleuse bite et prenez-moi ! S’il vous plaît, ne me faites pas attendre plus longtemps ! J’ai besoin de vous en moi ! » Elle me taquinait, encore et encore, comme ça pendant que j’essayais désespérément de trouver la combinaison de la serrure, mes couilles devenant violettes à cause de la pression de mon érection.

Je lui ai donné une fessée en exigeant le code, mais elle a seulement crié de le faire plus fort. La punir vraiment d’être une si mauvaise petite amie et de juste me déverrouiller et de la baiser fort, d’être brutal, que j’avais besoin de le faire…

« Tu ne veux pas me baiser ? Tu ne veux pas venir en moi ? Je t’en prie ! S’il te plaît, chéri. S’il vous plaît, Maître, enlevez cette cage infernale et utilisez-moi ! »

« Je ne peux pas ! Donne-moi ce putain de code ! »

« Je ne le ferai pas ! Et ce n’est pas parce que je suis une mauvaise fille, je suis en fait une très bonne fille… Tu te souviens que je t’ai dit que je devais préparer quelque chose pour ce soir ? Et bien, s’il te plaît, chéri, fais-moi confiance, je ferai tout ce que j’ai promis… »

« Juste… J’ai besoin… »

« Je sais, s’il te plaît, laisse-moi prendre soin de toi. »

Sur ce, elle est allée à son sac à main et est revenue avec des menottes et une corde. Elle m’a poussé sur une chaise et m’a menotté les mains derrière le dos et m’a attaché les pieds. Puis, elle a ouvert la boîte et a pendu la clé de ma cage devant les yeux avant de la faire glisser sur mon corps vers ma queue et elle m’a enfin déverrouillé ! Elle s’est dressé immédiatement et elle l’a attrapée à la base avec une main, la seconde massant mes couilles, puis elle a embrassé le bout, ensuite elle lui a donné beaucoup de baisers en descendant et en remontant dessus, enfin elle a léché toute ma bite, doucement, l’a prise dans sa bouche en faisant tournoyer sa langue tout autour…

J’étais au paradis… mais… quand j’ai approché l’orgasme, elle a ralenti. J’ai compris qu’elle voulait faire durer le plaisir. Après beaucoup de cette pipe taquine, elle m’a finalement amenée au bord… et m’a totalement lâché avec un sourire… Beaucoup de sperme a coulé lentement de ma bite… Je n’ai ressenti aucun plaisir, aucune libération, au contraire, je suis devenu encore plus excité, frustré et désespéré… J’ai grogné et j’ai crié ! Elle a léché le sperme de mon corps et de ma bite, et à ma grande surprise, il n’y a pas eu de surstimulation post-orgasme, c’était aussi bon qu’avant… qu’il sorte… et ma bite ne voulait pas débander…

« As-tu aimé le premier orgasme que je t’ai donné, chéri ? Es-tu satisfait ? »

« Ce n’est pas un orgasme… ! ! ! J’en ai besoin d’un encore plus maintenant ! »

« C’est exactement ce que j’espérais ! C’est tellement amusant ! » Elle a commencé à caresser ma bite avec ses mains. « Mauvaise nouvelle, chéri, je vais te taquiner encore pendant des heures et ensuite je remettais la cage de force ! Tu vas rester vierge encore longtemps, et… peut-être que tu ne seras jamais en moi ! » Elle a souri et a embrassé ma bite.

« Non, non, non, non ! Tu n’es pas sérieuse ! »

« Si seulement tu n’étais pas menotté… Oh, je plaisante, je ne te laisserais toujours pas entrer en moi », elle m’a souri et cligné des yeux et je me suis souvenu de ce qu’elle a écrit sur ce morceau de papier !

J’ai commencé à me battre contre les menottes, je devais les briser !

« Oh, quelqu’un s’inquiète de ce qui pourrait lui arriver ? Ces menottes sont là pour que je puisse te remettre dans la cage sans être satisfait ! »

Elle a augmenté l’intensité de ses taquineries, mais après un long combat contre les menottes, la chaîne qui les reliait s’est finalement brisée ! Elle s’appuya contre le mur, croisant les jambes et se couvrant les seins avec ses mains… J’ai couru vers elle, mais elle s’est enfuie en riant et en me souriant…

Tu n’auras pas le droit de faire l’amour avec moi, je ne te laisserai pas faire !

Quand je l’ai finalement attrapée, je l’ai jetée sur la table de la salle à manger et j’ai pris ses mains, je les ai coincées avec les miennes au-dessus de sa tête… Elle se tordait, croisant les jambes pour bloquer l’accès, elle essayait de se libérer…

Elle m’a crié dessus : « Ne fais pas ça, relâche-moi ! »

J’avais peur qu’elle ne le veuille vraiment pas. Je l’ai regardée et je l’ai embrassée. Elle m’a embrassé en retour avec un doux gémissement et j’ai senti ses jambes se relâcher, puis j’ai su, j’étais sûr qu’elle ne faisait que jouer. J’étais soulagé et… j’étais tellement excité… J’ai écarté ses jambes avec les miennes et je suis finalement pénétrée ! Elle gémissait fort et profondément et m’embrassait comme jamais auparavant. La sensation était accablante pour moi, j’étais presque paralysée, elle enroula ses jambes autour de moi et me poussa plus profondément à l’intérieur, gémissant encore plus ! Mes yeux grands ouverts ne pouvaient pas croire à quel point elle était belle et sexy ! J’ai commencé à bouger, à la baiser, lentement au début, puis, de plus en plus en vite et de plus en plus fort.

J’étais comme un animal, je la tenais toujours. Ce que je ressentais, ce que je voyais et ses cris de plaisir étaient trop intenses. Je sentais l’orgasme imminent, mais il n’a pas eu lieu. Je ressentais de la douleur en continuant à faire monter l’orgasme… Mais je n’arrivais pas à jouir ! Elle m’avait vidé les couilles avant ! Putain ! J’avais besoin de cette libération, de cet orgasme ! Et ça ne pouvait pas arriver ! Ma baise est devenue de plus en plus rapide, désespérée, presque violente… Il a fallu un certain temps avant que j’entende les cris de son propre orgasme qui m’ont rendu encore plus furieux.

« Ahhhhh ! Stop ! Arrête ! C’était merveilleux… merci, chéri… » Elle respirait fortement pendant que je m’arrêtais de bouger. « Je… je… ouah… C’est plus que ce que je pouvais imaginer ! Peux-tu… te retire et me serrer dans tes bras après ça ?

« Alors… tu as fini ? »

« T’étais pas là ? Tu n’as pas vu ? Et entendu ? C’était génial ! Bien sûr que j’ai fini… »

« Eh bien, pas moi ! » Je resserrai ma prise sur ses mains et recommençai à la baiser, furieusement, violemment, comme une bête !

Ça a duré longtemps, mes muscles me faisaient mal, j’étais fatigué, elle criait : « C’est trop ! Chéri, je n’en peux plus ! », et haletait entre des cris qui ne trompait personne, elle prenait son pied. Et finalement, je l’ai senti venir… Le foutre montait alors que ma copine criait alors qu’elle jouissait en même temps que ma bite commençait à palpiter et à expulser le sperme sous une énorme pression.

Ses yeux roulèrent en arrière, elle ne pouvait pas reprendre son souffle, je ne pouvais pas non plus… Ça ne ressemblait à rien que je connaissais avant, c’était trop pour moi ! Quand le pompage s’est finalement arrêté, j’ai lâché ses mains, je me suis retiré et je l’ai serrée dans mes bras. Je me suis effondré sur elle et, avec un peu d’effort, j’ai réussi à me placer à côté d’elle et à l’embrasser. Nous avons murmuré « Merci » en même temps et nous nous sommes souri. Nous étions satisfaits, j’ai obtenu ma libération et tout était génial, oh oui, ça valait la peine d’attendre cruellement !

Nous sommes restés longtemps allongés comme ça et j’ai senti ma bite se durcir à nouveau, alors j’ai commencé à la caresser, elle a ouvert les yeux, a regardé la montre et a ronronné :

« Chéri, tu n’en as pas eu assez ? Je veux voir des feux d’artifice… »

« Je vais faire de mon mieux », lui ai-je dit en souriant.

Cette fois-ci, le sexe était tout aussi passionné, mais plus lent, beaucoup plus sensuel. Nous n’étions plus pressés, nous voulions juste être ensemble, faire l’amour. Nous avions joui tous les deux avant et nous prenions juste notre temps pour nous amuser. Nous avons joui ensemble et nous nous sommes souhaité une bonne année. Puis, satisfaits et fatigués, nous nous couchés et endormis en nous étreignant.

•••

Le lendemain matin, après le petit déjeuner, elle m’a demandé si elle pouvait m’attacher à nouveau. Bien sûr, j’ai accepté. Cette fois-ci, elle a utilisé des cordes, en disant qu’elle avait prévu de s’amuser et qu’elle voulait s’assurer que je ne m’échapperais pas et ne gâcherais pas ses plans. J’ai juste souri, elle était vraiment enjouée. Quand elle a fini de m’attacher, ma bite était complètement dressée.

« Chéri, regarde ta bite, elle est plus grosse qu’hier ! Je veux dire, hier elle n’était pas petite, non, elle était assez grosse, mais aujourd’hui elle est encore plus grosse ! C’est probablement parce qu’elle a passé trois longues semaines ratatinée dans cette cage de chasteté sans avoir d’érection. Eh bien, maintenant elle aura beaucoup plus de temps pour s’étirer. »

Elle me chevaucha et quand elle fût prête elle bougea pour m’introduit en elle. Après m’avoir pris tout entier en elle, elle se figea, elle me dit de rester immobile et commença à se masturber… Elle a pris son temps… Quand finalement elle a joui, elle était juste heureuse et avait un sourire malicieux, elle était toujours assise sur moi avec ma bite tendue en elle.

« Oh purée, ça a marché ! C’est aussi bon que je l’espérais ! Je suis contente, c’était génial de faire ça ! »

« Je suis content que ça t’ait plu, donc… peut-être que maintenant ça pourrait être mon tour ? »

Elle m’a fait une merveilleuse pipe, mais m’a empêché de jouir. Après environ une demi-heure de ça, elle m’a demandé :

« Chéri, je peux la remettre en cage ? »

« Tu n’es pas sérieuse… ? »

« Si… s’il te plaît… on s’est tellement amusés quand j’ai ouvert cette cage, et toi qui la porte, moi qui enferme ta bite dans cette cage, c’est mon ultime fantasme… »

« Si je dis non, tu me détacheras et tu ne me mettras pas la cage ? »

« Haha… Nan ! »

« Je t’aime »

« Je t’aime, aussi »

« Tu me promets de faire en sorte que ça en vaille encore la peine ? »

« Bien sûr, chéri, te promet de toujours faire en sorte que ça en vaille la peine ! Et, je me suis dit que ça sera encore plus intense en nous faisant courir un plus grand danger. »

« Qu… Qu’est-ce que tu veux dire ? »

Elle est allée à son sac à main et en revenant au lit, elle a attrapé la cage de chasteté. Ensuite, elle m’a montré ce qu’elle avait trouvé dans son sac à main : d’autres cylindres de verrouillage.

« Alors… la plupart du temps, nous allons faire l’amour comme il y a un instant, avec moi qui t’utilise comme un jouet pour me combler et me masturber, tu ne viendras pas. Mais, parfois tu t’amuseras autant qu’hier ou peut-être même plus ! Maintenant, l’élément dangereux… Tu vois, ce sont des cylindres de verrouillages pour ta cage, tous identique en apparence, mais tous différent. »

Elle m’en a montré un. Il ressemblait exactement au cylindre que j’avais mis dans ma chambre d’hôtel, sauf que celui avait des petits cadrans comme sur une serrure à combinaison.

« Celui que tu as dans la main est un cylindre “pas avant”. Tu vois, je peux régler avec ces cadrans la durée pendant je veux qu’il soit impossible de déverrouiller la cage. Maintenant (elle me fit une démonstration) une fois en place et la cage fermée, impossible de modifier quoi que ce soit. Comment ça pas de mauvaise surprise. »

Elle m’en montra un autre. « Celui-ci est vraiment dangereux… mais tellement amusant ! Tu vois, il fonctionne comme le précédent, mais c’est un verrou “jusqu’à”, s’il n’est pas déverrouillé avant la fin du temps… eh bien, il ne peut plus jamais être ouvert ! Celui-ci », me montra-t-elle, « est un mixte des deux précédents, il ne peut pas ouvert avant une certaine durée et plus après une certaine durée. Le tout, c’est de ne pas se tromper lors du réglage », dit-elle en rigolant.

Le dernier qu’elle me montra était exactement comme les autres. « Celui-ci est certainement celui que tu redouteras le plus… Je ne pense pas qu’on l’utilise un jour… sauf si tu te plains de ta cage ou si tu ne me satisfais pas sexuellement. », dit-elle en gloussant. « C’est le plus simple de tous, il suffit de la glisser dans la cage et “clic !” »

« Clic… Et quoi ? »

« Juste “clic”, c’est tout. Un ultime “clic” qui restera à jamais dans ton esprit. Celui-ci, c’est le “Permalocker”, une fois verrouillée la cage restera à jamais scellée… Imagines, ta grosse bite enfermée dans cette toute petite cage pour toujours. »

J’étais sans voix… Elle m’a souri et est allée à la cuisine, quand elle est revenue elle avait un sac de petits pois surgelés. Elle s’est agenouillée au pied du lit, a pris ma bite entre ses seins jusque’à ce qu’elle soit vraiment dure. Puis elle a léchouillé mon gland avant de la prendre en bouche en faisant tournoyer sa langue tout autour… Rapidement, elle m’a emmené au bord et comme la veille elle l’abandonna en rigolant chaudement pendant que je criai de frustration. Ensuite, elle utilisa le sac de surgelés pour calmer mes ardeurs et sans attente que je débande complètement elle força ma bite à rentrer dans la cage.

« Eh bien, lequel dois-je utiliser, chéri ? »

« Bébé… »

« Je sais ! Celui-ci, laisse-moi juste le régler. » Elle régla les cadrans, inséra le cylindre dans le mécanisme de verrouillage avant de tourner la clé. J’entendis un petit déclic. « Maintenant… », elle prit la clé et l’accrocha sur son collier. La clé se balançait à présent entre ses seins, « je sais déjà que nous allons passer une très heureuse Saint-Valentin ! »

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