Il m’a fallu quelques jours pour mijoter et planifier ma revanche, et je me suis arrangé pour qu’il revienne une semaine plus tard. Je l’ai accueilli chez moi dans une adorable petite tenue estivale et un maquillage minimal, soigneusement choisi, me donnant un air presque innocent, visant à le bercer dans un sentiment de sécurité et ne pas trahir mes intentions. Je l’ai emmené dans ma chambre et je l’ai laissé m’allonger sur le lit. Il remarqua tout de suite les liens de tissus sur les montants du lit et son sourire s’élargit.
“Ça a l’air chouette !”, murmura-t-il.
“En fait…” Je le regardais avec de grands yeux… “J’espérais pouvoir les utiliser sur toi.”
Il semblait déconcerter, mais s’est repris rapidement. Je pense que son évidente érection contrainte dans son jean l’a encouragé à maitriser sa réaction initiale.
“Oui, pourquoi pas !”
Je me félicitai intérieurement et essayant de ne pas avoir l’air trop contente.
“Laisse-moi t’enlever tous ces vêtements.”
Dès qu’il fut nu, je le repoussai contre les oreillers et l’embrassai alors que j’attachais un poignet puis l’autre. Dès qu’il fût confortablement installé, je m’agenouillai devant lui sur le lit et traînai ma langue sur ses pectoraux et ses abdos comme je le voulais depuis notre première nuit. Sa queue était dure et convulsante, et j’étais toute mouillé juste en la regardant. Je me suis armé de courage et me suis concentré sur la tâche à accomplir.
J’avais toute son attention, alors j’ai retiré mon haut et j’ai pincé ostensiblement mes tétons qui étaient déjà durs. Je me penchai en avant et pressai mes seins nus contre lui, le sentant soupirer joyeusement. Je passai un moment à les frotter tout le long de son torse, et plus bas, à frotter mes seins sur ma bite turgescente qui palpitait déjà visiblement.
J’ai enlevé le reste de mes vêtements et me suis assise, les jambes écartées. Son regard fixé ma chatte. Ma main approchait de ma petite fente, il se mordit la lèvre inférieure alors que je caressais gentiment mon clito. Il pouvait voir mes plis intimes scintillants à tel point j’étais incroyable excitée, et il laissa échapper un petit gémissement, dont je ne pense pas qu’il était pleinement conscient. J’ai dessiné des ronds avec mon doigt autour de mon clitoris, le sentant se contracter et gonfler encore plus. Je pensais qu’il tiendrait plus longtemps, mais au bout de quelques petites minutes, il dit :
“Je veux te manger.”
J’ai cherché son regard et me suis permise un sourire victorieux.
“Oh, non ! Je suis très loin d’en avoir fini.”
Il laissa échapper un faible geignement de frustration. Je me caressai plus rapidement et augmentai la pression, ses yeux restèrent complètement figés entre mes cuisses jusqu’à ce que je ne puisse plus tenir, je haletai et me laissai venir.
“Détache-moi !”, commanda-t-il. Je souris et rampai vers lui, les doigts mouillés tendus.
“Tout à l’heure !” J’ai rigolé. Je glissai mes doigts dans sa bouche et il les suça avidement.
Sa bite était toujours dure comme de la pierre, avec une délicieuse perle de précum qui brillait au bout. Je ne pouvais pas m’empêcher de la lécher, provoquant encore un autre geignement délicieux. J’ai sucé et léché la tête de sa bite jusqu’à ce qu’il sanglote presque, me retirant à chaque fois qu’il semblait qu’il lâcherait son torrent de sperme refoulé sur mon visage. J’ai lubrifié mes deux mains et je le caressais, enroulant mes mains autour de sa hampe impitoyablement, utilisant parfois ma paume pour stimuler le gland proéminent de sa bite, faisant parfois légèrement bouger mes doigts autour de son frein.
Sa bite était tellement dure et gonflée, comme je n’en avais auparavant jamais vu et je n’ai pas cessé de vouloir la prendre jusqu’à la garde d’un seul coup. Mais à chaque fois je me forçais à le taquiner pendant encore cinq minutes, en échangeant entre ma bouche et mes mains.
“Je dois venir putain, c’est tellement bon !”, dit-il d’une voix étranglée. J’ai souri et l’ai pris complètement dans ma bouche, puis je me suis arrêté de nouveau. Il laissa échapper un hurlement angoissé.
“Tu vas jouir pour moi ? Je veux que tu viennes dans ma gorge, ok ?” Il hocha la tête si fort que je pensais qu’il allait se tord le cou. Je me suis penché et ai pris sa bite dans ma bouche, puis dans la gorge, comme je l’avais promis. Le gémissement profond de soulagement qu’il laissait échapper était divin. Je savais que je n’avais pas beaucoup de temps, mais la chance était de mon côté. J’ai tenté 5, 6, 7 coups alors que je sentais ses hanches poussées vers mon visage et je me suis retirée au 8e donc je ne le touchais plus du tout.
“AHHHHHHH !” Les pulsations traversaient sa bite tandis qu’elle se balançait pendant quelques secondes dans l’air, puis son sperme coula dans un long flot inépuisable le long de sa bite jusqu’à son ventre. Je ne pus m’empêcher de ricaner en voyant son visage empli d’angoisse et d’incrédulité. Son érection n’a pas faibli le moins du monde, en fait elle était encore plus vive qu’auparavant. Il était, littéralement, un homme ruiné.
Et j’attendais avec impatience sa revanche.