MÉLANIE 24 ANS • THOMAS 30 ANS
PRATIQUE LA CHASTETÉ MASCULINE contrôlée DEPUIS 3 ANS
Notre exploration de la chasteté masculine a commencé la nuit où j’ai rencontré Thomas. Pour faire court, il portait un Prince Albert. À l’époque je suis une fille de 21 ans qui a déjà vu des mecs à poil, mais aucun avec un piercing. L’idée qu’une aiguille ait pu traverser une des parties les plus sensibles de son corps m’impressionne et me parait tellement incroyable que je lui pose plein de questions à ce sujet.
Après m’avoir longuement parlé de son piercing et détaillé la pose (d’après lui, c’est plus impressionnant que douloureux), je n’arrivais toujours pas à comprendre ses motivations. Il finit, alors, par me dire que son ex-copine refusait qu’il puisse se masturber. Elle s’était donc procuré une cage de chasteté en plastique et l’avait convaincu de la porter. Lorsqu’elle a découvert qu’il pouvait s’en échapper, elle lui avait demandé de se faire percer le gland.
J’étais fascinée.
« Une cage de chasteté ? Qu’est-ce que c’est ?! »
Thomas m’expliqua alors du mieux qu’il pouvait qu’il s’agit d’une cage pour sa queue. Que l’accessoire est constitué d’un anneau dans lequel les testicules et le pénis sont introduits et qu’il y a un tube pour recevoir le pénis. L’ensemble est attaché par un cadenas. Et donc, le porteur ne peut alors pas avoir de relations sexuelles, ni se masturber, ni même bander ! La femme garde la clé et qu’à partir de ce moment c’est elle qui a le contrôle sur son sexe.
Le lendemain matin, je lui demandais à voir sa cage de chasteté. Il sortit de son armoire une petite boite. Elle contenait une jolie cage en métal ainsi qu’un petit anneau avec une serrure. C’était son piercing qui se ferme à clé. La cage me paraissait déraisonnablement petite. Amusée, je lui demandais de la mettre. Après avoir enfilé l’anneau, il fit glisser son pénis dans le tube et verrouilla l’ensemble. Ensuite, il posa son piercing qu’il ferma à clé.
Il était encagé.
Je pris la clé, je l’embrassais et le remercia pour la chouette nuit que j’avais passée puis je filai chez moi.
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