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Lucas : le récit de sa chasteté


La première fois que mon chéri m’a parlé d’une ceinture de chasteté, j’ai immédiatement pensé à cet objet datant du Moyen-Âge, dont on parle parfois dans certains romans. J’avais tout faux.

Il m’a montré des images sur Internet, et j’ai vu qu’il s’agissait d’un objet en plastique transparent qu’on peut fermer à l’aide d’un cadenas. Si l’on enferme le pénis de son mec dans cette « cage de chasteté », il ne peut plus tripoter son pénis, donc ni se masturber ni avoir de rapport sexuel, sans l’autorisation de celle qui détient les clés du cadenas.

Les jours suivants, nous en avons parlé, et j’ai regardé plusieurs sites sur le Net. J’avoue que je n’aurais pas envisagé de lui faire porter cette cage. Mais puisque c’est lui qui me le proposait, après tout pourqVoir la publicationuoi pas ? Cela aurait au moins le mérite de l’empêcher de se masturber, chose que je lui avais interdite plusieurs fois.

Nous avons donc examiné les différents modèles qui existent, et le choix de Lucas s’est porté sur une «  CB – 3000  ». Je lui ai donc conseillé de la commander (125 € dans un sex-shop suisse). Les jours suivants, j’ai continué de rechercher sur le Net des informations sur ce sujet.

Dix jours plus tard, un avis du facteur nous invitait à retirer un colis à la poste. Le samedi matin, Lucas a donc récupéré le colis. Lorsqu’il est revenu, on aurait dit un enfant qui vient de recevoir un nouveau jouet. Il s’est empressé d’ouvrir le paquet et d’étaler toutes les pièces sur la table du salon.

Après le repas, pendant que mon chéri s’offrait un cognac, j’ai examiné le contenu du coffret. Il contenait 5 anneaux de différentes dimensions, afin de s’adapter à la conformation du porteur.

Comme nous avions prévu de consacrer l’après-midi à un essai, je demandai à Lucas de se mettre à poil. Mais il présentait une très belle érection, j’ai donc dû lui offrir une fellation avant de pouvoir commencer la mise en place de la cage.

Je choisis un anneau qui me paraissait convenir et je le plaçai derrière les testicules. Il suffisait ensuite de mettre un peu de talc sur le pénis, d’enfiler le pénis dans cet étui et de fermer le cadenas. Mais j’avais coincé des poils et mon chéri avait mal. Je lui retirai donc la cage, et l’envoyai se raser le pubis.

Une demi-heure plus tard, nouvel essai, mise en cage et fermeture du cadenas. Le coffret comprenait 3 clés. J’en suspendis une à un collier autour de mon cou et je plaçai les deux autres dans une enveloppe que je fermai avec un ruban adhésif.

Au cours de l’après-midi, Lucas se plaignit d’avoir mal dès qu’il avait un début d’érection. Mais c’est normal, la cage est prévue pour interdire toute érection. Il me demanda à plusieurs reprises d’ouvrir le cadenas, mais c’était hors de question. Finalement, je lui retirai la cage au milieu de la nuit, car il dit ne pas pouvoir dormir.

•••

Au début, le port de la cage ne dépassait pas quelques heures. Il me réveillait au milieu de la nuit en me demandant de le libérer. Pendant les dix jours suivants, il me réveilla toutes les nuits pour que je lui retire la cage, mais tous les soirs je la lui remettais dès qu’il arrivait à la maison. Il avait voulu cette cage, il faudrait bien qu’il s’habitue.

Nous avons fini par trouver les bons réglages, et il a pu conserver la cage pendant deux ou trois jours, du vendredi soir au lundi matin. Trois week-ends comme ça, puis un lundi matin je refusai d’ouvrir le cadenas, et je lui dis de partir au travail avec sa cage. Il avait peur que ses collègues de travail le remarquent, mais finalement tout s’est bien passé.

Cela fait maintenant plus de deux ans que nous avons reçu cette cage, et je pense qu’il s’agit d’une invention géniale. Je me suis très rapidement rendu compte de ses avantages, et c’est moi qui ai insisté pour qu’il la porte toute la semaine. Je ne regrette qu’une chose, c’est de ne pas l’avoir utilisée plus tôt.

C’est fou ce qu’il a pu changer (en mieux ! ! !). Il est tellement plus doux, plus galant et plus attentionné depuis qu’il porte cette cage ! Je conseille vivement à toutes les femmes qui me liront d’imposer le port d’une cage de chasteté à leur compagnon. Pour les mecs qui me liront, et particulièrement les machos, je leur conseille d’imprimer ce texte et de l’offrir à leur compagne. À mon avis, 90 % des hommes sont aptes à supporter cette cage pendant des périodes allant d’une à cinq ou six semaines.

Le but de la cage est de contraindre l’homme à une période de chasteté plus ou moins longue. La chasteté crée indéniablement un sentiment de frustration très fort. Cette frustration rend le mec beaucoup plus attentif à sa femme. Plus la frustration se prolonge, plus le désir grandit. L’effet de manque qui exacerbe le désir apparaît au bout d’une semaine. C’est le moment idéal pour expliquer à son homme ce qu’il doit faire ou ne pas faire pour devenir un mari parfait. Ce moyen de contrôle est puissant, et tous ceux qui connaissent Lucas depuis longtemps ont remarqué que son comportement s’était nettement amélioré au cours des deux dernières années.

Avant la cage, il acceptait une fois ou deux par mois de consacrer 5 minutes aux travaux ménagers. Depuis qu’il est soumis à des périodes de chasteté, il y participe très largement, en moyenne 3/4 pour lui et 1/4 pour moi ! C’est tout simplement génial.

Grâce à la cage, j’ai pu lui supprimer l’alcool. Un jour qu’il était encagé, je lui ai annoncé que pour être libéré il devait rester 10 jours sans boire d’alcool. J’ai ensuite renouvelé la méthode chaque fois qu’il était en cage. Il a ainsi perdu progressivement l’habitude de boire et maintenant il ne boit que de l’eau.

Deux ou trois fois, il a exprimé l’envie d’aller jouer au tiercé. À chaque fois, je lui ai répondu :

— D’accord, mais je t’accompagne et si je te vois boire une goutte d’alcool, tu reçois une fessée au martinet suivie de 3 semaines de cage.

À chaque fois, il a préféré renoncer…

Nous avons adopté un cycle de cinq semaines. Lucas porte la cage en général deux semaines, puis trois semaines sans cage. Donc deux semaines consécutives de chasteté, sans éjaculation. Mais en fonction de son comportement, je peux réduire ou augmenter la durée de la période de chasteté : minimum dix jours de cage et maximum quatre semaines.

La seule fois où il a « bénéficié » de quatre semaines de cage, c’est lorsqu’il a ouvert l’enveloppe contenant la clé de secours et qu’il l’a mise dans une autre enveloppe en imitant maladroitement ma signature.

Le jour où je m’en suis aperçu, je n’ai rien dit, mais j’ai acheté un martinet. Le vendredi soir, après la douche, je l’ai fait mettre à genoux et je lui ai attaché les poignets au pied du buffet. Ensuite, j’ai commencé de le fesser au martinet, pour lui faire avouer qu’il avait pris la clé et ouvert sa cage. Ensuite, je lui ai caressé les fesses, puis j’ai continué de les fesser au martinet jusqu’à ce qu’elles atteignent une belle teinte rouge unie. Après quoi je l’ai encore laissé à genoux jusqu’à ce que ses fesses retrouvent leur teinte naturelle. Lucas se tortillait et voulait que je le détache, mais je suis partie dans une autre pièce en le laissant seul. Et ensuite, mise en cage pour quatre semaines.

Deux jours après la fessée, je lui ai demandé de m’écrire une lettre en répondant aux questions suivantes :

— Quel effet cela fait-il de recevoir une fessée à 34 ans ?
— Décris-moi en détail tes sensations.
— La punition était-elle méritée ?
— Était-elle suffisante ?
— En cas de récidive, quelles sont les punitions alternatives que je peux utiliser ?

La méthode éducative que j’utilise donne d’excellents résultats. Même ta maman m’a félicitée en me précisant que depuis deux ans ton comportement s’était nettement amélioré.

— Souhaites-tu que je continue d’employer cette méthode ?
— Connais-tu une méthode différente qui permettrait d’obtenir de meilleurs résultats ?

Tu dois me remettre cette lettre pour samedi prochain.

Le samedi suivant, je l’ai fait mettre à genoux à côté de moi en lui demandant de me lire sa lettre. Je l’ai longuement interrogé sur les différents passages de cette lettre, puis je lui ai demandé de la refaire, en la complétant avec les différents points que nous avions évoqués.

Depuis il n’a plus cherché à retirer sa cage sans ma permission.

•••

J’en profite pour signaler à ceux qui me liront qu’il s’agit d’un jeu librement consenti. Il peut casser la cage à tout moment avec une bonne paire de tenailles. Il aurait pu aussi ne pas remettre la clé dans l’enveloppe et jeter la cage à la poubelle, mais ce que je lui reproche est d’avoir imité ma signature.

J’ai acheté un nouveau cadenas, et pour éviter qu’il soit tenté de dérober la clé j’ai recopié sur une enveloppe la recette de la tarte au citron (son dessert préféré). La première fois, j’avais juste mis ma signature au dos de l’enveloppe, mais cette fois le texte est suffisamment long pour qu’il ne puisse pas le recopier en imitant mon écriture. Puis j’ai plié la clé de secours dans une feuille de papier journal sur laquelle figurait la date. J’ai entouré le papier journal avec un ruban adhésif, et j’ai mis le tout dans l’enveloppe. Ensuite, j’ai entouré cette enveloppe par plusieurs tours de rubans adhésifs.

Le fait qu’il ne puisse pas bander ne doit pas l’empêcher de me caresser, au contraire. Il peut utiliser ses mains et sa langue. J’adore le cunnilingus ! Il a aussi appris à me caresser sur tout le corps, beaucoup plus longtemps, avant de me pénétrer.

S’il est très obéissant lorsqu’il est encagé, il a en revanche tendance à relever la tête et à reprendre facilement ses anciennes habitudes dès qu’il n’est plus sous cage. C’est pourquoi il est indispensable de maintenir en permanence une certaine pression. Voici quelques trucs que j’utilise afin de le discipliner :

— Sous-vêtements : lorsque l’oiseau n’est pas en cage, il doit mettre une petite culotte et un panty roses pour se rendre à son travail. Ce n’est pas la tenue idéale pour draguer ! ! ! Ceci lui évite toute tentation féminine en lui rappelant que son sexe est réservé exclusivement à mon usage personnel. La petite culotte est garnie d’une serviette pour l’empêcher de se tripoter. Le vendredi matin, je complète l’habillement avec un corset rose avec laçage dans le dos, très serré, car il ne travaille pas le vendredi après-midi, et il avait l’habitude de terminer la semaine par un apéro avec les collègues de travail… Dès qu’il rentre à la maison, il doit se mettre en short, avec un tee-shirt et un tablier bavette.

— Confession : tous les soirs, il doit me confesser les fautes qu’il a pu commettre et les mauvaises pensées qu’il a eues au cours de la journée. Pour cela, il doit se mettre à genoux à côté de mon fauteuil pendant au moins 15 à 20 minutes. Le questionnement qui suit la confession me permet de bien connaître son état d’esprit.

(Je précise que la confession fait partie intégrante de ma méthode éducative et qu’elle doit avoir lieu 365 jours par an.)

Après la confession, il doit noter ses fautes sur son « cahier répertoire des bonnes résolutions ». Le cahier est ensuite rangé dans un tiroir de la commode sous le martinet. Ce qui lui permet de voir le martinet tous les jours et cela lui rappellent que je peux l’utiliser chaque fois que je le juge utile.

— Argent : j’ai pris l’habitude de contrôler toutes ses dépenses. Tous les soirs, immédiatement après la confession, je contrôle ses dépenses de la journée et je lui donne son argent de poche pour le lendemain. Je vérifie également ses dépenses par chèque et chaque mois je vide presque complètement son compte bancaire.

— Nourriture : une fois par mois, en général le deuxième week-end du mois, je le nourris à la cuillère comme un bébé. Pour cela, je lui attache les mains dans le dos et je le fais mettre à genoux à côté de moi. Et je lui enfourne des cuillerées de nourriture dans la bouche, comme pour un bébé. J’en profite pour lui faire manger des plats qu’il n’aime pas. Par exemple le mois dernier c’était du tapioca. J’ai préparé un grand bol de potage au tapioca, et du vendredi soir au dimanche soir il n’a pas eu autre chose à manger. Comme il n’aime pas ça, il n’en a mangé que trois cuillerées à soupe le vendredi soir ; le samedi, j’ai pu lui en faire ingurgiter quatre ou cinq à chaque repas, et enfin le dimanche, il commençait d’avoir faim et il en a mangé un peu plus.

— Une fois par mois, en général le dernier week-end du mois je lui administre un lavement et je le laisse 24 heures à la diète.

— Hygiène : il est indispensable de laver le sexe et la cage au moins tous les deux jours. Donc, quatre fois par semaine (mardi, jeudi, samedi et dimanche), je le lui laisse prendre sa douche seul. Ensuite je lui menotte les mains dans le dos avant d’enlever la cage. Je prends deux gants de toilette (un dans chaque main) afin d’éviter le contact de mes mains avec le petit oiseau. Je rince à l’eau froide son pénis, ses testicules, la raie des fesses et le bas du ventre. Malgré tout, il a souvent une érection (surtout après quelques jours de chasteté), alors quand j’ai fini la toilette, je lui offre ( !) un bain de siège. Pour cela, je le fais accroupir dans une bassine contenant de l’eau froide et des glaçons. Le zizi se rabougrit assez rapidement. Je le sèche vite, je mets un peu de talc et je remets rapidement l’oiseau dans sa cage.

Après 3 semaines de liberté, il est souvent un peu réticent pour une mise en cage. Je commence alors par lui faire prendre une douche, puis je lui fixe des bracelets en cuir aux poignets et aux chevilles. Je l’attache, les bras en croix sur le lit (j’attache des cordelettes aux quatre pieds du sommier). Je le caresse longuement sur tout le corps, puis je me positionne au-dessus de sa tête pour un cunni. Après avoir obtenu plusieurs orgasmes, je l’abandonne pendant une bonne demi-heure. Au bout de 30 à 40 minutes je reviens dans la chambre et je dépose la cage entre les jambes de mon chéri. Je recommence les caresses sur tout le corps, puis je les arrête, en alternance, afin d’obtenir un minimum de cinq ou six érections suivies d’autant de débandades. Enfin, je lui offre un coït avec pénétration vaginale, en lui demandant de tenir longtemps. Et hop, en cage dès qu’il a éjaculé !

•••

Un dernier mot pour les femmes qui me liront. C’est incroyable les vertus de cette cage ! Toutes les femmes qui l’ont découverte sont absolument ravies ! Les dix premiers jours sont difficiles, mais l’homme s’habitue assez vite au port de la cage, et très rapidement vous allez vous rendre compte des nombreux avantages que vous pouvez tirer de cette nouvelle situation. Vous aurez un homme galant, courtois, attentionné, disponible pour effectuer les travaux ménagers. Bref, un homme qui ne demande qu’à vous rendre service. On se croirait au début de la relation, lorsqu’il vous faisait la cour et qu’il ne savait comment vous faire plaisir.

Mais attention, c’est un jeu qui se joue à deux et vous devez attendre que ce soit votre mec qui décide d’en faire l’achat. Vous devez juste lui suggérer l’idée et attendre que cette idée parvienne à son cerveau. C’est compliqué, un cerveau d’homme. Ça contient de nombreuses circonvolutions et des milliards de neurones. Vous devez donc attendre que l’idée fasse son chemin dans le cerveau, descende jusqu’à la zigounette et remonte au cerveau. Pendant ce temps, vous pouvez juste évoquer le sujet une fois par semaine.

Le jour où il vous annonce enfin son intention d’acheter une cage, félicitez-le, complimentez-le abondamment et récompensez-le immédiatement. Vous connaissez ses goûts : offrez-lui son cadeau préféré. Et surtout veiller à ce qu’il n’oublie pas l’idée le lendemain ! ! !

J’en profite pour faire à aveu à Lucas et lui annoncer une surprise :

« Mon chéri, j’ai fait relire le texte ci-dessus par mon amie Caroline. Cela fait maintenant environ six mois qu’elle sait que tu portes une cage. Mais elle souhaite te voir encagé. Elle viendra déjeuner avec nous dimanche.

Pendant le repas, nous évoquerons certainement ce sujet : tu n’as pas à intervenir dans la conversation. Après le repas, tu nous sers le café au salon, tu débarrasses la table, tu prends une douche et tu enfiles la petite culotte rose et le panty que j’aurai déposé sur notre lit.

Ensuite, tu viens nous rejoindre et tu remets la cage à Caroline (elle l’a déjà vue). Lorsque Caro te le demandera, tu te fous à poil pour qu’on te mette la cage. En cas d’érection intempestive, tu iras te masturber dans la salle de bain, puis tu reviendras pour que je te mette en cage. Ta période de chasteté sera fixée par Caro, en fonction de la qualité du repas que tu nous auras préparé. Tu as donc intérêt à t’appliquer ! ! !

Ensuite, il est probable que je raccompagnerai Caro chez elle. Profites-en pour mettre le lave-vaisselle en route et ranger l’appartement ».

Auteur : Anonymes.

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