AccueilExpériencesRécitsMa femme baisée devant moi : du fantasme à la réalité

Ma femme baisée devant moi : du fantasme à la réalité


Ma femme s’appelle Laurence. Elle a 34 ans, brune, les cheveux tombant sur les épaules, avec de grands yeux gris-vert, grande (1m74), des petits seins et de superbes jambes conduisant vers une croupe vertigineuse et cambrée, bref une belle paire de fesses tendues naturellement, comme une invitation agressive à les croquer. Elle est très féminine et pour en dresser un tableau complet elle est ravissante. Elle a, peut-être comme toutes les femmes d’ailleurs, une double personnalité : un côté face très sage, très rangé, très bourgeoise BCBG dans sa vie quotidienne, s’occupant de sa maison et de ses enfants, et un côté pile dans l’intimité de la chambre, très salope, chienne en chaleur et gourmande de cul, s’occupant plutôt de bites et de couilles ! Ainsi, quand je la vois tranquillement assise sur le canapé de cuir carmin en train de feuilleter un magazine, je ne peux m’empêcher de penser que ce même visage angélique, concentré et absorbé par la lecture, était à d’autres moments transformé harmonieusement par le plaisir, les yeux dans le vague, la bouche ouverte, gourmande, gémissant sous l’assaut d’une queue bien dure ! Mais n’est-ce pas là toute la beauté de la femme ?

Bref nous nous aimons, aimons le sexe et nous racontons souvent pendant nos ébats nos fantasmes, même si nous ne les réalisons pas tous… L’un des plus courants, qui nous excitait tous les deux le plus, était de le faire à plusieurs, avec une autre femme ou, plus spécialement pour Laurence, avec un autre homme. Souvent, quand, nue, elle me chevauchait, empalée sur mon sexe, se démenant sur ce pal, le laissant à la fois la combler bien à fond, et remuant son ventre pour frotter son petit bouton contre le mien, ses mèches dansant dans son cou, ses seins se balançant au rythme de sa danse frénétique, je lui disais, tout en empoignant ses fesses à pleines mains :

— Hum.. ma chérie … tu aimes ?
— Oui …. j’aime …, roucoulait-elle
— Tu aimes la bite ?
— Oui, j’aime la bite …
— Tu aimes te faire enfiler … tu aimes sentir des centimètres de bite partout en toi …
— Oh oui …. c’est trop bon …. encore …, disait-elle en gémissant.

Puis, ma main remontant le long de son corps pour caresser sa nuque, tourner vers l’avant et effleurer ses lèvres :

— Je suis sûr que tu aimerais avoir des centimètres de bite en même temps dans la bouche …

À ces mots elle happait goulûment mon doigt et le suçait avec frénésie, redoublant d’excitation.

— Tu vois, tu aimes ça.. tu es une salope …
— Oui, je suis une salope …. j’adore me faire ramoner … hummm … j’adorerais me faire ramoner par deux queues …
— Dis-moi, ma salope adorée … tu penses à quoi là … ? quelles images traversent ton esprit en ce moment … ?

D’une voix gémissante, secouée par les ondes de plaisir qui l’inondait, elle avouait alors :

— Je vois des queues, plein de queues, de grosses queues dures autour de moi … plein de mecs qui me bourrent tous les trous et qui déchargent … hummm .. plein de sperme qui ruisselle sur moi … j’aime ça … je veux être une salope juste bonne à être enfilée … hummm

Dans un ultime râle, je jouissais également, lui envoyant de longues et chaudes giclées dans la chatte. Alors elle se laissait tomber sur mon torse et nous nous embrassions tendrement et amoureusement, oubliant toutes nos envolées jusqu’au prochain moment d’intimité. L’idée de passer du fantasme à la réalité me trottait donc dans la tête, mais je savais que Laurence, redevenue l’épouse modèle et sage une fois l’orgasme passé (jusqu’au suivant bien entendu), refuserait catégoriquement toute expérience de ce type. Il faudrait donc pour arriver à mes fins (et aux siennes également) user de créativité et profiter du bon moment.

Celui-ci arriva par un beau soir d’été. Nous étions seuls toute la semaine, les enfants étant en vacances pour quelques jours chez leurs grands parents. Laurence avait passé toute l’après-midi à se reposer au bord de la piscine, laissant la chaleur et l’éclat du soleil envelopper et dorer sa peau. Quand je rentrai de mon travail vers 19h, je la trouvai encore allongée sur un transat, assoupie et bercée par les derniers rayons. Je déposais un délicat baiser sur ses lèvres closes, laissant le revers de ma main dessiner légèrement les courbes de son corps.

— Oh, mon chéri … tu m’as réveillée … mais quelle heure est-il ?
— 7 heures … pourquoi ?
— Mince … Franck va arriver …
— Franck ?
— Oui, l’étudiant qui fait du modelage avec moi, il m’a téléphoné et il me ramène ma pièce …

En effet, Laurence faisait partie d’un groupe qui suivait des cours de modelage artistiques, et la cuisson de sa dernière pièce, une femme nue étendue aux chairs voluptueuses, venait d’être cuite et était donc disponible, et l’un des participants, Franck, lui proposait de lui rendre service en la lui rapportant. J’avais à peine digéré l’information qu’un grand jeune homme, pas mal fait de sa personne et au sourire enjôleur, vêtu d’un jean et d’une ample chemise de coton, apparaissait sur la terrasse avec la fameuse pièce en main.

— J’ai sonné … et comme personne ne répondait je suis passé par derrière.

Laurence le remercia et je le saluai en lui proposant un verre. Il posa la pièce sur la table de bois et je voyais ses yeux dériver sur le corps presque nu de ma femme, s’attardant sur ses hanches qui laissaient deviner des fesses aguichantes. Ma femme se leva pour chercher trois verres et une bouteille de muscat. Il suivit le déhanchement lascif de son cul tout en me parlant de ses études. Je l’invitais à s’asseoir au bord de la piscine pendant que Laurence nous servait. Je crus qu’il allait s’évanouir quand, pour remplir mon verre, elle se pencha, lui mettant sans faire exprès et sans penser à mal, pratiquement à un mètre de son visage, la vision de sa croupe rebondie et tendue. La bouteille de muscat se vidait tandis que le soleil déclinait à l’horizon ; l’alcool aidant, la conversation se fit imperceptiblement plus cordiale, plus amicale, voire par moments plus intime.

Nous étions donc tous plus ou moins assis sur la terrasse en bois bordant la piscine et le jardin ; à l’arrière de notre maison, des arbres nous masquent totalement d’éventuels regards indiscrets et les plus proches voisins se trouvent à près de 100 mètres. J’avais laissé tomber ma veste et Laurence n’était toujours vêtue que de son maillot de bain noir dont le bas était échancré et dont le tissu semblait comme collé entre ses cuisses, épousant si parfaitement le renflement se son sexe. Elle devenait d’ailleurs d’humeur enjouée, voire polissonne par instants, et questionnait sans relâche Franck sur sa vie privée, s’amusant de ses réponses quelquefois embarrassées.

Quand Franck s’éclipsa 5 minutes pour aller aux toilettes je lui murmurais à l’oreille « qu’est ce qui t’arrive ma chérie … je te reconnais plus … ». Elle me susurra « tu sais moi non plus … mais j’ai la pêche ce soir … » puis sur un ton plus confident « vivement ce soir qu’on soit seuls. car j’ai très très envie … »
« tu sais moi aussi … , lui dis-je, tout en glissant ma main entre ses cuisses, ma paume couvrant le renflement de sa chatte, … « et en plus ce soir au lit je suis sûr que tu imagineras que c’est la queue de Franck qui est en train de te ramoner … »
À ces mots, je sentis son ventre se contracter davantage et ses cuisses se serrer autour de mes doigts. Le tissu de son maillot était à nouveau mouillé … mais cette fois-ci ce n’était pas l’eau de la piscine …

— C’est vrai mon chéri .. cela m’excite déjà rien que d’y penser ….

Elle venait de finir sa phrase que Franck réapparut … un peu gêné et mal à l’aise par la vue de ma main emprisonnée entre les cuisses de ma femme ; je la retirai vivement. Ne sachant quel comportement adopter il bafouilla « euh … je crois que je vais vous laisser …il se fait tard … excusez-moi …. »

Sentant que le moment tant rêvé était peut arrivé de réaliser notre fantasme non avoué, je décidai en une fraction de seconde de franchir le pas, de transgresser la morale éventuelle, de sauter dans le gouffre de la luxure et du plaisir. Je pris mon courage et lui dis :

— Mais non… Franck… restez encore… au contraire… ne soyez pas gêné par la situation… nous, cela ne nous gêne absolument pas… d’ailleurs pour vous rassurer je vais le refaire…

Ma main s’immisça alors pour la seconde fois entre les jambes de Laurence. Elle les ouvrit amplement pour me faciliter l’accès et ferma les yeux en renversant sa tête vers l’arrière pendant que doucement je lui massais la chatte par dessus son maillot. Franck n’en perdit pas une miette, son regard semblant vissé à mon geste.

— Elle n’est pas belle, ma femme, ainsi ?
— Si .. si .. bien sûr … réussit-il à articuler
— Et excitante aussi … non ?
— Oui … oui … bien sûr …

Me penchant alors vers Laurence je lui dis « ma chérie … ton étudiant te trouve belle et en plus tu l’excites … je pense qu’il serait normal que tu lui en dévoiles un peu plus … ça te dérange pas … ? « . En guise de réponse, elle serra ses jambes posées sur le sol pour me permettre d’enlever plus facilement le slip de son maillot, et tout de suite les rouvrit presque impudiquement pour continuer de s’abandonner à ma caresse. J’invitais Franck à s’approcher pour mieux voir. Il s’accroupit entre les jambes de mon épouse à environ 1 mètre de son ventre. Elle était maintenant à moitié couchée sur la terrasse, prenant appui sur ses deux coudes pour pouvoir nous observer. Moi j’étais donc agenouillé à ses côtés, la caressant d’une main, et notre étudiant se tenait en face. De temps en temps, je stoppais mon geste pour lisser et écarter ses lèvres intimes d’un doigt avant de revenir titiller son petit bouton rose en faisant des commentaires chauds sur son anatomie, pour décupler ses envies.

— T’as vu sa belle petite chatte comme elle s’ouvre… et elle est super mouillée… regarde comme mon doigt coulisse bien… écoute le bruit que ça fait quand il rentre et qu’il sort…

Ses yeux semblaient sortir de ses orbites devant le spectacle que nous lui offrions et une bosse impressionnante tendait son jean.

— Et en plus elle adore ça… là elle est chaude comme elle ne l’a encore jamais été… n’est pas ma chérie ?
— Oui… Philippe… j’ai envie de me faire baiser… je dégouline trop…
— Humm … tu veux de la queue … ?
— Oh oui … de la bonne grosse queue bien dure … Franck … tu veux pas me montrer la tienne … je te montre bien mon minou tout ouvert … t’as pas envie de baiser une belle salope … ?

Et moi, regardant Franck « alors … t’as pas envie de lui en donner … ? » Et Laurence répondant pour lui « oui … Franck, sors ta queue et viens me la fourrer … ». Franck semblait comme pétrifié, comme changé en statue de glaise … la glaise qu’il pétrissait chaque semaine à ses cours de modelage avec ma femme. Alors elle se redressa et se mit à genoux. Son visage était à la hauteur de la fermeture de son jean et d’une main experte elle fit sauter les boutons et plongea directement sa main dans le caleçon pour en sortir une queue bien entendu déjà bien dure et grosse. Immédiatement elle la saisit pour se l’enfourner dans la bouche et la sucer avec déchaînement. C’était la première fois que je voyais ma femme sucer une autre bite que la mienne, mais le spectacle de son visage comme aspiré par cette queue, de sa joue déformée par le gland quand elle l’embouchait, de ses lèvres que j’embrassais si souvent, même d’un simple baiser chaste, et qui là se fermaient sur une hampe bien dure et la faisait glisser du sommet aux couilles, m’excita comme jamais. En 30 secondes mes vêtements gisaient épars sur le sol et je dégrafais le haut de son maillot pour libérer ses seins. Puis mes mains se posèrent sur ses fesses, qu’elle tendit à mon approche, comme une invitation à une dégustation plus poussée, et, accroupi derrière elle je plongeais trois doigts dans sa chatte qui ruisselait comme un marécage tout en la regardant administrer une superbe fellation. Elle ondulait sa croupe comme une chienne, perdant toute notion du temps et de l’espace, se libérant de toute contrainte pour ne laisser cours qu’à ses envies de sexe. Pour la rendre folle, je lui disais :

— Alors chérie, est-ce que sa queue est bonne ? est-elle assez grosse pour une gourmande comme toi ?

et m’adressant à Franck :

— Elle te suce bien ? finalement tu ne dois pas regretter pas d’être resté … tu pensais, pendant vos cours de modelage, qu’un jour ma femme aurait ta bite dans la bouche ?
— Euh .. non, répondit-il entre deux râles, …elle semblait si réservée … je n’aurais jamais imaginé çà …
Je souris.
— Mais tu en avais envie … peut être même que tu fantasmais déjà sur elle ?
Franck ne répondit pas, mais Laurence, recrachant un instant son sexe, leva ses yeux coquins vers lui et renchérit :
— Oui … dis-nous, Franck … je te faisais bander pendant les cours ? peut-être que tu te branlais même le soir dans ton lit en imaginant tout ce que je te fais là …

Notre étudiant perdit alors sa timidité et enfin se lâcha : « humm .. oui, Laurence … tu m’excitais déjà … je rêvais de ton cul, de tes lèvres pulpeuses, de ton corps … je me demandais si tu étais une coincée ou une chaude … mais j’aurais jamais pensé que tu étais aussi salope et aussi bonne … humm … oui … bouffe ma grosse queue … on dirait que tu en raffoles, de la bite … alors pompe-la bien à fond …. hummm … ton mari a de la chance d’avoir une chienne comme toi qui aime s’enfiler des queues bien dures et en redemande …. ». Dans un ultime soubresaut il déchargea alors de longs jets chauds de sperme dans sa gorge. Ma femme l’avala jusqu’à la dernière goutte … puis, contente d’elle-même, elle se laissa choir sur la terrasse, couchée sur le dos, entièrement nue, les jambes totalement écartées, les bras en croix, semblant attendre la suite des évènements. Franck reprenait ses esprits … et moi aussi, mais Laurence n’avait pas encore joui. Alors sa main se posa sur sa chatte et elle se mit deux doigts dans la fente, commençant à se ramoner en nous implorant : « donnez-moi encore de la queue … ».
— Je vais te bourrer la chatte, ma chérie … en attendant que Franck retrouve la forme … , d’ailleurs si tu le branlais un peu je suis certain qu’il redeviendrait rapidement dur ! ajoutai-je en plaisantant.
Je me positionnais alors entre ses cuisses, lui levant les jambes pour l’ouvrir totalement et impudiquement, et j’appelai Franck, alors que je présentais mon gland à l’entrée de son antre humide : « Regarde bien comme ça va s’enfoncer et glisser sans problème tellement elle dégouline … elle n’a pas une belle fente ma femme … ? remets-lui ta queue dans la bouche qu’elle te fasse rebander, comme ça tu pourras aussi la bourrer et lui décharger dans la moule ! » Il ne se fit plus prier, et s’installa à califourchon sur le visage de Laurence, lui mettant ses fesses sous les yeux et ses couilles sous la langue, se frottant contre ses joues, ses lèvres, son nez. Elle emprisonna aussitôt sa queue encore un peu molle dans sa main et se mit à la branler avec vigueur. Moi je la besognais, faisant rentrer puis complètement ressortir ma bite de sa chatte, la limant tout en la regardant branler la queue de Franck qui durcissait, et lui léchouiller les bourses velues. Quand il fut à point, je me retirai et ordonnai à ma femme de se mettre à quatre pattes.
Les derniers rayons de soleil illuminaient son corps ainsi offert. Elle était nue, soumise et heureuse, avançant comme une salope qui a envie de se faire sauter sur la terrasse en bois, cambrant au maximum sa croupe pour nous exciter davantage, secouant de temps en temps la tête pour faire retomber ses mèches de part et d’autre de son visage, faisant darder sa langue et humectant ses lèvres.

— Hum, ma chérie … tu es sublime … on dirait un fauve … une chienne en chaleur qui est sortie chasser la queue …
— Oui .. mon chéri … ce soir je suis une chasseuse de queues … et là j’en ai vu deux qui me font trop envie … que j’ai envie de me mettre ..
— Et tu les veux où ?

L’oeil mutin elle répondit :

— Celle de Franck, je la veux dans ma chatte … elle ne la connaît pas encore, et, en ondulant du cul : « Viens, Franck, viens me ramoner … tu vas voir, j’ai la fente brûlante et inondée … viens me bourrer un bon coup … » , puis s’adressant à moi, « et la tienne tu me la fous dans la bouche … je vais la sucer … comme ça tu seras près de moi quand je jouirai et tu pourras lire dans mon regard le plaisir que prend ta salope de femme de se faire ramoner par la queue d’un autre mec devant toi … »

Franck n’attendit pas qu’elle eût fini sa phrase pour se positionner derrière elle, la saisir aux hanches et s’enfoncer par derrière dans sa fente, après avoir bien sûr revêtu un préservatif. Le voyant faire, je saisis Laurence par les cheveux et lui fourrai ma queue prête à exploser, tellement j’étais excité, dans sa bouche vorace. Il la pilonnait avec force. À chaque assaut de sa part, Laurence était un peu projetée vers l’avant et mon gland butait contre le fond de sa gorge ; quand elle sentit le plaisir arriver, elle redoubla de frénésie sur ma queue et me regarda intensément. Je pus alors lire dans ses yeux les ondes de jouissance qui submergeaient son corps. Franck éjacula dans la foulée, puis moi, et alors que je déchargeais dans la bouche de ma femme je lui dis tendrement « Je t’adore ma chérie … c’est trop bon de voir sa femme se faire mettre … je n’ai jamais joui aussi fort … »

ARTICLES AU HASARD


LES DERNIERS BILLETS

Aller à la barre d’outils